Marco35 a écrit:cevenol30 a écrit:Marco35 a écrit:[Arnautu] ne pourra pas candidater pour un poste au bureau exécutif essentiellement car il n'y a pas d'élection pour le bureau exécutif. Il est nommé par la présidente et validé par le comité central qui lui est élu par le congrès.
Chacun appréciera le côté démocratique (ou pas) de ce fonctionnement...
C'est sur que lorsque le Président de la république sur proposition du 1er Ministre nomme les membres du gouvernement qui sont ensuite validé par le parlement par le vote de la confiance, vous trouvez cela également très (ou pas) démocratique comme fonctionnement.
Eco92 a écrit:C'est assez délirant mais rigolo, et conforme à l'étrangeté du statut de "président d'honneur".
La justice valide l'exclusion de JM Le Pen mais pas la perte de son statut de président d'honneur, conçu comme inaliénable.
"en conséquence [il] devra être convoqué en qualité de membre de droit de toutes les instances" dirigeantes du parti et pourra y "participer", ont statué les juges.
Connaissant le papy il risque d'avoir tout à fait envie de profiter de ce droit.
http://www.rtl.fr/actu/politique/fn-la-justice-valide-l-exclusion-de-jean-marie-le-pen-7785832906
ploumploum a écrit:Et une conseillère départementale en moins.
Sonia Colemyn, élue dans le canton de Nord-Médoc en 2015 (Gironde), quitte le parti, dénonçant notamment "une inégalité de traitement" avec son cotitulaire.
https://www.francebleu.fr/infos/politiq ... 1480002969
Marie-Christine Gilliot qui n’est pas plus tendre avec l’autre homme fort du FN, Paul-Henry Hansen-Catta, conseiller régional et membre de l’équipe de campagne présidentielle de Marine Le Pen. « Les deux mènent une stratégie rachitique dans l’Aisne. Ils dirigent une équipe qui n’en est pas une. Les deux sont en concurrence. C’est Louis XIII et Richelieu, je les mets dos à dos ».
Agacé, Franck Briffaut cingle : « C’est une péripétie, une erreur de casting. La politique est un combat et non pas un amusement ». La jeune élue quitte le FN mais continuera à siéger à Laon comme « sans étiquette ». Elle a demandé à changer de place dans l’hémicycle
ploumploum a écrit:Sur les 62 élus de 2015, le FN n'en a plus que 54 (voir le résumé de Nico)
Eco92 a écrit:ploumploum a écrit:Sur les 62 élus de 2015, le FN n'en a plus que 54 (voir le résumé de Nico)
TV5 Monde fait le point sur les élus FN des municipales et notamment le fait, constaté aussi, que le parti est massivement touché par les démission. Ainsi sur les 1500 élus étiquetés FN de 2014 environ 500 (soit 28%) ont démissionné.
http://information.tv5monde.com/info/politique-francaise-epidemie-demissionnaire-au-front-national-146858
ploumploum a écrit:Eco92 a écrit:C'est assez délirant mais rigolo, et conforme à l'étrangeté du statut de "président d'honneur".
La justice valide l'exclusion de JM Le Pen mais pas la perte de son statut de président d'honneur, conçu comme inaliénable.
"en conséquence [il] devra être convoqué en qualité de membre de droit de toutes les instances" dirigeantes du parti et pourra y "participer", ont statué les juges.
Connaissant le papy il risque d'avoir tout à fait envie de profiter de ce droit.
http://www.rtl.fr/actu/politique/fn-la-justice-valide-l-exclusion-de-jean-marie-le-pen-7785832906
Disons que cela apprendra au FN à faire des statuts complets et à les modifier correctement (cf :le fameux congrès postal annulé...)
Mercredi d'abord, la Cour de cassation a rejeté un pourvoi du parti de Marine Le Pen, qui contestait la suspension du "congrès postal", censé supprimer la présidence d'honneur du parti. La justice avait déjà jugé par deux fois, à l'été 2015, que seul un congrès "physique" pouvait permettre au FN de supprimer cette fonction.
(voir le message d'Eco92)Jeudi ensuite, c'est cette fois la cour d'appel de Versailles qui a rejeté un recours du FN contre l'exécution d'une décision rendue le 17 novembre dernier.
Avec cette dissolution, le parti perd une tribune mais aussi un collaborateur alors que le FN a besoin de permanents politiques pour assurer son développement. "Avec Christophe Boudot, on ne se parle pas. A Villeurbanne, nous travaillons en équipe pour préparer les conseils municipaux. A la métropole, je travaille tout seul. Je ne fais rien avec Christophe Boudot", avance Michel Casola pour expliquer sa décision de quitter le groupe FN et ainsi de le dissoudre.
Michel Casola pointe aussi l'absentéisme de Christophe Boudot, par ailleurs président du groupe FN au conseil régional, conseiller municipal à Lyon et assistant parlementaire de l'eurodéputé Bruno Gollnisch.
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