alamo a écrit:quelques jours après le "Brexit", la Commission Européenne menace l'ESpagne et le Portugal de sanctions pour "dérapage budgétaire".
ils n'ont vraiment rien compris, sont-ils vraiment aussi cons ?
Oui mais comme ça on peut les reconnaitre.
Notons que la Commission est prête à sanctionner sa propre politique de l'austérité aveugle qui a déjà ravagé quelques pays...
Sanctions qui concerneraient la gestion de deux gouvernements de droite (Rajoy et Passos Coelho)
A la limite, sanctionner l'Espagne n'est pas injustifié. Rajoy, autoproclamé bon gestionnaire et donneur de leçons, ne parvient pas à baisser le déficit. L'écart entre le chiffre de 2015 et le projet initial est d'un point de PIB (10 milliards d'euros)
L'écart portugais (1,3-1,4 pt de PIB) est dû un héritage empoisonné qu'a reçu le Gvt Costa. A peine en fonction, voilà que la banque Banif doit être sauvée après deux années de tergiversations et de repoussement de déécisions claires de la part du Gvt PSD-CDS.
Fabien a écrit:L'appareil du Labour et ses apparatchiks blairistes manoeuvrant non-seulement pour virer Corbyn, mais même interdire au leader élu par 250 000 britanniques de se représenter... En termes d'image, je pense qu'on fait mieux. Qu'ils n'aient pas choisi une stratégie plus prudente, du type guerre d'usure, montre bien le degré de haine des blairistes pour Corbyn et ce qu'il représente.
On verra aujourd'hui si Corbyn peut se présenter.
Notons déjà que les basses manœuvres pour éjecter le leader légitime ont conduit à une hausse des adhésions au parti. Le nombre d'encartés dépasse les 500 000, une première depuis près de 20 ans.
L'élection de Corbyn avait déjà entrainé un premier mouvement de hausse.
Voir ici :
http://www.les-crises.fr/comment-jeremy ... vailliste/
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