En
Indre-et-Loire, les premières présomptions de candidatures et candidatures s'affichent déjà :
Tours, 1re circonscription. Face au sortant Jean-Patrick Gille (PS), sont sur les rangs deux élues LR, l'adjointe et vice-présidente du Département Céline Ballesteros, favorite, et l'adjointe Françoise Amiot. Trois autres noms sont avancés, l'adjoint à la sécurité Olivier Lebreton (LR), et les deux candidats malheureux de 2012, Thibault Coulon (LR) et Christophe Bouchet (UDI). Les pro-Coulon souhaitent que leur « chef », écarté des régionales, reparte au combat de la députation.
Amboisie, 2e circonscription. La sortante Claude Greff (LR) y retournerait bien pour son « quatrième et dernier mandat » dit-elle. Face à elle, on parle du retour de deux ex-candidats, Isabelle Gaudron (PS), élue amboisienne, épaulée par le sénateur Filleul, et Christophe Rossignol (écologiste), parti au ministère de Jean-Vincent Placé et plus tellement désiré en Indre-et-Loire.
Lochois, 3e circonscription. Marisol Touraine, qui ne sera peut-être plus ministre après mai 2017, voudra-t-elle retrouver son mandat de députée actuellement occupé par son suppléant Beffara ? Elle pourrait avoir comme adversaire Sophie Auconie (UDI), ex-députée européenne. L'hypothèse Marc Angenault, maire de Loches (LR) est plus compliquée.
Chinonais, 4e circonscription. On irait tout droit vers la revanche de 2012, l'affrontement entre Laurent Baumel, frondeur PS, et Hervé Novelli, ex-ministre LR, même si au PS comme chez Les Républicains, certains voient cela d'un mauvais œil.
Nord-ouest, 5e circonscription. Dans le microcosme tourangeau, beaucoup pensent que Philippe Briand n'abandonnera pas son mandat à l'Assemblée nationale. Au PS, Pierre-Alain Roiron, maire de Langeais, s'est déjà porté candidat.
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