HAHA !, les ténors régionaux socialistes qui refusent l'alliance avec PODEMOS alors que la plupart ont retrouvé la tête des exécutifs grâce à la gauche "radicale".
Sur Gonzalez : rien à dire. A part ressortir la citation de Gaulle sur la vieillesse. Rubalcaba et Gonzalez dénoncent l'insulte de Pablo Iglesias avec sa proposition. Mais ce dernier peut faire cette proposition vu le rapport de force à peine favorable au PSOE : 90 sièges contre 69 pour PODEMOS (on est très loin du cas portugais) sans parler de l'écart de suffrages (1,4 pt je crois)
Y a t-il encore un problème de maturité politique pour le PSOE qui reste bloqué dans le schéma traditionnel de la domination PP-PSOE avec l'obligation que le parti en tête forme le Gvt ?
Fabien a écrit:Reste une hypothèse que personne n'a évoqué ici: un soutien unilatéral (sans accord, donc) de Podemos au PSOE pour l'investiture, les premiers gardant ensuite leur liberté de vote. Vous semble-t-elle envisageable?
Cela me parait difficile. P.Iglesias suit pour l'instant la stratégie établie bien avant le 20 décembre : "sans participation, pas de soutien à l'investiture" et il faudrait déjà que le Roi propose P. Sanchez comme candidat, et vu les manœuvres des barons pour le torpiller, pas certain qu'il accepte la mission.
Et cela vient de tomber :
-la dernière proposition de Rajoy pour empêcher la chute des barons PS en cas de retrait du soutien de PODEMOS et de IU : en échange d'une grande coalition, le PP soutiendrait les présidents de région et maires PS élus grâce à la gauche de la gauche en mai-juin 2015.
http://politica.elpais.com/politica/201 ... 73711.html