Fabien a écrit:Comme c'était prévisible, l'absence d'alliance entre Podemos et IU (sauf en Galicie et en Catalogne, où elle a d'ailleurs bien fonctionné) a coûté cher aux deux formations. Dans une dizaine de circonscriptions au moins (Jaen, Séville, Saragosse, Asturies, Canaries, Albacete, Ciudad Real, Guadalajara, Murcie, Biskaye), un siège supplémentaire était accessible à une liste unique...
ploumploum a écrit:Court entretien entre Mariano Rajoy et Pedro Sanchez : le leader socialiste a confirmé le "non " à l'investiture du Président du Gvt sortant.
Par ailleurs, il laisse la porte ouverte concernant la formation d'un gouvernement alternatif
Un peu plus tôt, le leader de Ciudadanos avait proposé un pacte à trois (PP-PSOE-C's) pour réformer le pays tout en laissant excluant Podemos et ses alliés qui veulent, selon lui, "la destruction de l'Espagne"
http://politica.elpais.com/politica/201 ... 58153.html
http://elpais.com/elpais/2015/12/23/vid ... 37689.html
Corondar a écrit:ploumploum a écrit:Court entretien entre Mariano Rajoy et Pedro Sanchez : le leader socialiste a confirmé le "non " à l'investiture du Président du Gvt sortant.
Par ailleurs, il laisse la porte ouverte concernant la formation d'un gouvernement alternatif
Un peu plus tôt, le leader de Ciudadanos avait proposé un pacte à trois (PP-PSOE-C's) pour réformer le pays tout en laissant excluant Podemos et ses alliés qui veulent, selon lui, "la destruction de l'Espagne"
http://politica.elpais.com/politica/201 ... 58153.html
http://elpais.com/elpais/2015/12/23/vid ... 37689.html
Quand vous dites : "il laisse la porte ouverte concernant la formation d'un gouvernement alternatif", vous parlez de Rajoy ou de Sanchez ?
De toute façon, là c'est la quadrature du cercle : à partir du moment où le PSOE rejette toute alliance avec le PP, et que de son côté Ciudadanos rejette toute alliance avec Podemos, alors il n'y a aucune majorité possible.
Puisque ni PP+C'S ni PSOE+Podemos n'ont de majorité absolue, je ne vois pas bien quelles sont les autres alternatives.
Fabien a écrit:Corondar a écrit:ploumploum a écrit:Court entretien entre Mariano Rajoy et Pedro Sanchez : le leader socialiste a confirmé le "non " à l'investiture du Président du Gvt sortant.
Par ailleurs, il laisse la porte ouverte concernant la formation d'un gouvernement alternatif
Un peu plus tôt, le leader de Ciudadanos avait proposé un pacte à trois (PP-PSOE-C's) pour réformer le pays tout en laissant excluant Podemos et ses alliés qui veulent, selon lui, "la destruction de l'Espagne"
http://politica.elpais.com/politica/201 ... 58153.html
http://elpais.com/elpais/2015/12/23/vid ... 37689.html
Quand vous dites : "il laisse la porte ouverte concernant la formation d'un gouvernement alternatif", vous parlez de Rajoy ou de Sanchez ?
De toute façon, là c'est la quadrature du cercle : à partir du moment où le PSOE rejette toute alliance avec le PP, et que de son côté Ciudadanos rejette toute alliance avec Podemos, alors il n'y a aucune majorité possible.
Puisque ni PP+C'S ni PSOE+Podemos n'ont de majorité absolue, je ne vois pas bien quelles sont les autres alternatives.
Avec le soutien de l'ERC et l'abstention de la CiU et du PNV, une coalition PSOE-Podemos-IU aurait la majorité simple (170 contre 163). Mais sans le référendum, ce sera dur à obtenir...
Corondar a écrit:Fabien a écrit:Corondar a écrit:
Quand vous dites : "il laisse la porte ouverte concernant la formation d'un gouvernement alternatif", vous parlez de Rajoy ou de Sanchez ?
De toute façon, là c'est la quadrature du cercle : à partir du moment où le PSOE rejette toute alliance avec le PP, et que de son côté Ciudadanos rejette toute alliance avec Podemos, alors il n'y a aucune majorité possible.
Puisque ni PP+C'S ni PSOE+Podemos n'ont de majorité absolue, je ne vois pas bien quelles sont les autres alternatives.
Avec le soutien de l'ERC et l'abstention de la CiU et du PNV, une coalition PSOE-Podemos-IU aurait la majorité simple (170 contre 163). Mais sans le référendum, ce sera dur à obtenir...
Mouais, ça fait beaucoup de pré-requis pour en arriver à un attelage fortement instable et soumis à la moindre défection.
Le "il" renvoyait à Sanchez. Le problème pour le leader socialiste c'est qu'avant de négocier avec les autres forces, il va devoir convaincre son camp, ce qui est loin d'être gagné vu que certains barons ou baronnes comme Susana Diaz, présidente d'Andalousie et patronne de la plus puissante fédération du PSOE (22 des 90 sièges obtenus sont andalous), rejettent l'accord Podemos.
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