Eco92 a écrit:MIchèle Rivasi, fondatrice de la CRIIRAD, ancienne présidente de Greenpeace et ancienne députée de la Drôme, actuelle eurdéputée EELV, a annoncée a candidature à la présidentielle en cas de primaire écologistes larges.
Bon, je dois dire que je l'aime bien mais que j'ai moi même eu besoin de 3 jours pour avoir l'info alors que je suis membre du parti, autant dire que l'écho est mesuré à ce jour.
Mais son texte est tout à fait pertinent http://www.michele-rivasi.eu/medias/des-primaires-du-%C2%AB-peuple-de-l%E2%80%99ecologie-%C2%BB-aux-primaires-de-l%E2%80%99espoir-pour-une-autre-republique/
http://www.francebleu.fr/infos/michele-rivasi-candidate-la-candidature-pour-la-presidentielle-2017-2537925
cevenol30 a écrit:Morano, ce n'était pas une blague et même pour elle il aurait mieux valu... Reste à voir ce que ça va devenir: candidature indépendante mais avec quelles signatures pour atteindre les 500,...? Typiquement le genre de candidature issue de la droite classique qui aurait quelque peu de mal à récolter un appoint de gauche en cas de duel avec le FN...
Les candidatures ou pré-candidatures à la candidature destinées à faire parler de soi et à faire réagir à ses idées, c'est un classique: je me souviens ainsi de la pré-candidature de Roland Castro en 2007, annoncée la première mais qui n'est allée nulle part faute de la moindre collecte de signatures.
De ce côté des 500 signatures (dispositif inchangé), essentiel à l'existence même d'une candidature devant les Français, il y a ceux qui les ont sans problème et ceux qui doivent courir après.
Dans la première catégorie, on peut mettre les candidats soutenus par le PCF, le PS, le Modem, l'ex-UMP. Pour l'UDI ce n'est pas gagné (cf. l'échec de Morin la dernière fois) même si l'UDI est plus large que l'ex-Nouveau Centre mais la question ne se pose pas vraiment s'ils participent à la primaire de droite.
Les autres doivent courir après, même en ayant une ou deux centaines d'élus qui ne suffisent pas: LO, NPA, S&P (Cheminade) EELV, ND (Larrouturou), CAP21 (Lepage), DLF, UPR, FN... CPNT ou Front Démocrate/UDE ne tenteront probalement pas, alliés à de "gros" candidats/partis. Ceux dont on s'attend à ce qu'ils y arrivent seraient LO, EELV, DLF, FN. Les autres ça se discute.
Rappelons quelques ratages au niveau des signatures: en 2012, Boutin, Morin, Lepage. En 2007, Dupont-Aignan, de Villepin, Pasqua. La LCR (ancêtre du NPA) entre 1974 et 2002 non inclus. Jean-Marie Le Pen en 1981.
Cette phase de la collecte s'est plutôt durcie avec le passage (après 74) de 200 à 500 paraphes nécessaires et les stratégies des grands et moyens partis, passés de l'aide aux "petits" pour raisons tactiques au verrouillage avec collecte de signatures au-delà du nécessaire et interdiction pour leurs élus de parrainer un autre candidat (les échecs de 2012 sont clairement liés à ça).
Marco35 a écrit:cevenol30 a écrit:Morano, ce n'était pas une blague et même pour elle il aurait mieux valu... Reste à voir ce que ça va devenir: candidature indépendante mais avec quelles signatures pour atteindre les 500,...? Typiquement le genre de candidature issue de la droite classique qui aurait quelque peu de mal à récolter un appoint de gauche en cas de duel avec le FN...
Les candidatures ou pré-candidatures à la candidature destinées à faire parler de soi et à faire réagir à ses idées, c'est un classique: je me souviens ainsi de la pré-candidature de Roland Castro en 2007, annoncée la première mais qui n'est allée nulle part faute de la moindre collecte de signatures.
De ce côté des 500 signatures (dispositif inchangé), essentiel à l'existence même d'une candidature devant les Français, il y a ceux qui les ont sans problème et ceux qui doivent courir après.
Dans la première catégorie, on peut mettre les candidats soutenus par le PCF, le PS, le Modem, l'ex-UMP. Pour l'UDI ce n'est pas gagné (cf. l'échec de Morin la dernière fois) même si l'UDI est plus large que l'ex-Nouveau Centre mais la question ne se pose pas vraiment s'ils participent à la primaire de droite.
Les autres doivent courir après, même en ayant une ou deux centaines d'élus qui ne suffisent pas: LO, NPA, S&P (Cheminade) EELV, ND (Larrouturou), CAP21 (Lepage), DLF, UPR, FN... CPNT ou Front Démocrate/UDE ne tenteront probalement pas, alliés à de "gros" candidats/partis. Ceux dont on s'attend à ce qu'ils y arrivent seraient LO, EELV, DLF, FN. Les autres ça se discute.
Rappelons quelques ratages au niveau des signatures: en 2012, Boutin, Morin, Lepage. En 2007, Dupont-Aignan, de Villepin, Pasqua. La LCR (ancêtre du NPA) entre 1974 et 2002 non inclus. Jean-Marie Le Pen en 1981.
Cette phase de la collecte s'est plutôt durcie avec le passage (après 74) de 200 à 500 paraphes nécessaires et les stratégies des grands et moyens partis, passés de l'aide aux "petits" pour raisons tactiques au verrouillage avec collecte de signatures au-delà du nécessaire et interdiction pour leurs élus de parrainer un autre candidat (les échecs de 2012 sont clairement liés à ça).
Pour le FN, le 13 décembre au soir, Marine Le Pen devrait avoir ses 500 signatures ou ne plus y être très éloigné.
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