de vudeloin » Ven 24 Aoû 2012 18:45
Septième arrondissement
Invalides
Inscrits 2 349
Votants 1 704
Exprimés 1 673
De Puymaigre (sortant, union nationale) 778, élu
Rémy (républicain national) 772
Cadic 103
Lop 20
Gros Caillou
Inscrits 9 143
Votants 7 062
Exprimés 6 962
Crussaire (union nationale) 3 589, élu
Delavenne (sortant, républicain de gauche) 2 345
Sanlaville (SFIO) 1 026
Sans surprise, la droite emporte les deux sièges en ballottage dans l'arrondissement, en réglant ses comptes avec elle même, en quelque sorte.
De Puymaigre fait partie des élus parisiens ayant participé aux manifestations du 6 février aux côtés des ligues et des mouvements d'anciens combattants tenus par la droite.
On pourrait s'en étonner puisque l'élu concerné est alors âgé de 75 ans, mais le problème est qu'Henri François Joseph Boudet de Puymaigre (c'est là son nom complet) est le fils de Théodore Joseph Boudet de Puymaigre, homme de lettres, et fut lui même officier supérieur de l'armée française (colonel commandant la place de Pont à Mousson).
Membre de la commission du Vieux Paris, Boudet de Puymaigre a notamment laissé, dans le cadre de ses activités d'élu parisien, une proposition « tendant à résoudre les difficultés de circulation existantes au Pont de la Concorde et ses abords et à prolonger en soirée l'ouverture du Jardin des Tuileries ».
Comme quoi, certains sujets ne datent pas d'hier...
L'intéressé fut élu du conseil de Paris de 1912 à 1940, où il décède, à l'âge de 81 ans, un mois avant l'entrée des troupes allemandes à Paris.
Georges Delavenne, le battu du quartier du Gros Caillou, n'est pas tout à fait un perdreau de l'année, puisqu'il a présidé le conseil général de la Seine après avoir, entre autres activités, fondé le Red Star avec Jules Rimet (le père de la Coupe du Monde de football !) et rapporté pendant plusieurs années le budget du département de la Seine.
Dans son activité d'élu, Georges Delavenne avait produit en 1928 une proposition tendant à « l'ouverture d'un concours en vue de l'établissement des plans de plusieurs voies souterraines destinées aux voitures, aux piétons et au transport de marchandises ».
Quatre ans plus tard, avec ses collègues De Puymaigre, De Castellane et Ambroise Rendu, il propose l'élargissement à vingt mètres de la rue du Bac entre le quai d'Orsay et la rue de l'Université.
Je n'ai pas d'indication de plus sur ce que fit Georges Delavenne pendant la guerre, sinon qu'il est décédé en 1945, à l'âge de 70 ans.
Enfin, pour le cocasse de la chose, notons les vingt votes de Ferdinand Lop, personnage haut en couleurs de la vie parisienne, qui sera surtout animateur de la vie du Quartier Latin après guerre.
Entre autres propositions stupéfiantes, Ferdinand Lop formulera en effet les idées suivantes
L'extinction du paupérisme à partir de dix heures du soir,
la construction d'un pont de 300 m de large pour abriter les clochards;
la prolongation de la rade de Brest jusqu’à Montmartre et l'extension du boulevard Saint-Michel jusqu’à la mer (dans les deux sens) (une proposition concernant l'avenue Trudaine et recherchant le même objectif avait été formulée par le Captain Cap, ou Alfred Capus, ami d'Alphonse Allais et candidat, dans les années 1890 et quelques, aux législatives dans le quartier Saint Georges, dans le IX e arrondissement) ;
l'installation d'un toboggan place de la Sorbonne pour le délassement des troupes estudiantines ;
la nationalisation des maisons closes pour que les filles puissent avoir les avantages de la fonction publique,
le raccourcissement de la grossesse des femmes de neuf à sept mois ; l'aménagement de trottoirs roulants pour faciliter le labeur des péripatéticiennes ;
l'octroi d'une pension à la femme du soldat inconnu ;
l’installation de Paris à la campagne pour que les habitants profitent de l’air pur ;
la suppression du wagon de queue du métro.
Une de ces personnalités de la vie parisienne qui font partie de la mémoire collective de la ville...
Neuvième arrondissement
Saint Georges
Inscrits 6 698
Votants 5 016
Exprimés 4 911
Ballu (républicain indépendant) 2 354, élu
Godin (sortant, républicain de gauche) 1 849
Sauvage (PCF) 541
Provost (indépendant) 124
Gautron 33
Moreau 7
Faubourg Montmartre
Inscrits 3 501
Votants 2 634
Exprimés 2 572
Pointel (sortant, républicain de gauche) 1 396
Cheminat (indépendant) 624
Tessier (PCF) 361
Chatard (républicain de gauche) 166
Patry (républicain) 23
Manteau (radical indépendant) 2
Rochechouart
Inscrits 7 593
Votants 5 848
Exprimés 5 743
Soulier (député, URD) 3 068, élu
Dr Houdard (radical indépendant) 2 553
Lentignac 119
Gligny (PCF) 2
Fruh 1
La gauche, sans possibilités majeures de l'emporter, n'a pas vraiment concouru dans cet arrondissement mixte, associant secteurs bourgeois et quartiers plus populaires, sinon « canailles ».
Quant aux élus, ils ne sont pas tous jeunes, puisqu'Edouard Soulier, député, est élu à soixante cinq ans conseiller de Paris, mandat qu'il ne terminera pas, décédant en 1938.
Pasteur protestant et journaliste, Edouard Soulier fut proche de certains milieux de droite, notamment des Jeunesses Patriotes.
Pointel est un ancien élu de son quartier (depuis avant la guerre de 1914 – 18), et était déjà une sorte de candidat anti socialiste dès les municipales parisiennes de cette époque.
Quant au Ballu du quartier Saint Georges, on peut le supposer apparenté à Théodore Ballu, architecte de son état et qui fit beaucoup pour Paris en réalisant, entre autres, la reconstruction de l'Hôtel de Ville après 1871, mais aussi la basilique Sainte Clotilde, l'église de la Trinité ou encore l'église Saint Ambroise ou à Albert Ballu, son fils, qui fut lui aussi architecte, restaurateur, notamment, des tours du Port de la Rochelle ou encore de la Tour Solidor à Saint Servan (monument accueillant aujourd'hui le Musée du Long Cours Cap Hornier) ainsi qu'un certain nombre d'édifices à l'étranger allant du Palais de Justice de Charleroi à celui de Bucarest, en passant par la Cathédrale et la gare d'Oran.
Dans un autre genre, Albert Ballu fut l'ordonnateur des fouilles de Timgad et Tébessa, ayant été investi de la mission d'architecte en chef de l'Algérie pendant trente ans.
Le nom de Ballu apparaît également, comme je l'ai peut être déjà indiqué, dans la vie politique de la Seine et Oise puisque le fils et le petit fils de Théodore (qui est celui qui a laissé son nom à une rue du IX e arrondissement ) furent maires de Gournay sur Marne et députés, à des moments différents, de la circonscription concernée de l'arrondissement de Pontoise.
C'est à dire celle qui, en l'espèce, couvrait l'ancien canton du Raincy et l'essentiel de la partie de la Seine Saint Denis qui ne vient pas de la dissolution du département de la Seine.
Guillaume Ballu, député sortant en 1936, sera battu par le communiste Emile Cossonneau, maire de Gagny lors des élections du Front Populaire.
Bref, je mène toutes recherches pour voir qui était ce Ballu élu de 1935 au conseil de Paris.
Dixième arrondissement
Saint Vincent de Paul
Inscrits 8 134
Votants 6 709
Exprimés 6 583
Susset (républicain socialiste) 3 487, élu
Beaud (sortant, républicain démocrate) 3 093
Hôpital Saint Louis
Inscrits 8 776
Votants 6 999
Exprimés 6 852
Hirsch (SFIO) 4 218, élu
Roéland (sortant, socialiste indépendant) 2 381
Louvion
Un arrondissement dont les deux ballottages conduisent à l'élection de deux candidats soutenus par les partis de Front Populaire.
Raymond Susset, dont j'ai déjà du parler sur le fil des élections de 1936, est, depuis 1932, député de l'arrondissement, et va s'affilier, après le scrutin d'avril mai 1936, au groupe de l'Union socialiste républicaine, regroupant une partie des dissidents de la SFIO, de tendance plutôt modérée.
Susset votera les pleins pouvoirs à Pétain et devra, de fait, attendre quelque temps avant de reprendre une activité politique qui le conduira d'ailleurs à se rapprocher du mouvement gaulliste, et notamment du RPF, dont il deviendra le Sénateur en Guinée en 1953.
Raymond Susset était industriel, spécialiste de la production et du commerce des matériaux de construction (chaux, ciment) et ses établissements étaient situés le long du quai de Valmy, entre les numéros 186 et 206 (le fait est notamment cité dans les romans du regretté Robert Sabatier, dans le cycle des Allumettes suédoises).
L'espace important occupé sur le canal Saint Martin a connu très tôt, de manière assez surprenante, une certaine vocation artistique.
La salle du 206 a ainsi servi de cinéma ouvert aux gamins du quartier (avec séance les jours où l'école faisait relâche), de scène de théâtre pour comédiens débutants (et dont certains sont déjà plus connus, comme Jean Louis Barrault, ou un jeune gamin juif nommé Marx qui deviendra chanteur sous le nom de Francis Lemarque) ou de lieu de réunions politiques, puisque la fédération de la SFIO de Paris y vit naître une dissidence trotskiste particulièrement active animée par Marceau Pivert, plusieurs fois candidat dans le XV e arrondissement ou Zyromski, conduisant à la création du Parti socialiste ouvrier et paysan, nom finalement retenu par les scissionnistes et exclus.
Le site des anciens établissements Susset existe toujours.
Il est aujourd'hui largement réhabilité et est devenu l'un des points forts de l'aménagement du quai de Valmy, en quartier d'artistes et plutôt « branché ».
Pour Raymond Susset, on peut supposer que son vote de juillet 40 le contraignit à la discrétion après guerre.
Sa dernière élection, pour représenter les Français de Guinée, ne fut pas la plus compliquée.
Il obtint en 1953 les deux tiers des voix des grands électeurs concernés et fut réélu en 1955 par l'ensemble du corps électoral.
Convenons qu'avec dix huit inscrits, ce corps électoral s'avérait pour le moins réduit...
Le socialiste Georges Hirsch, pour sa part, élu du quartier de l'Hôpital Saint Louis, est un pur intellectuel, poète et homme de théâtre, dont le rôle va s'avérer décisif dans le développement culturel de Paris au cours du siècle.
A l'occasion, le jeune élu (il a environ quarante ans) fera le coup de poing, au sortir du Conseil de Paris ou du Conseil général de la Seine avec Louis Darquier de Pellepoix, animateur forcené de l'antisémitisme de droite dans ces deux Assemblées.
Mais son rôle dans la Résistance et son attachement à la création artistique dans toutes ses composantes vont faire de Georges Hirsch le principal responsable de la Réunion des théâtres lyriques nationaux après la Libération.
C'est lui qui fait créer l'opéra « Bolivar » du prolifique compositeur Darius Milhaud, ou encore l'oratorio d'Arthur Honegger, autre membre du fameux Groupe des Six, « Jeanne au bûcher ».
Lui même fait la traduction en français des livrets des deux opéras de Mozart « L'enlèvement au sérail « et « Cosi fan tutte » et favorise par ailleurs en France la connaissance des travaux du chorégraphe Georges Balanchine ou la production des ballets de Stravinsky (Pétrouchka) ou inspirés de la musique russe (Danses polovtsiennes tirées du Prince Igor de Borodine).
Une seconde période d'activité au sein de la Réunion le conduira, une fois encore, à privilégier la création contemporaine et notamment le hiératique « Dialogue des Carmélites » de Francis Poulenc, l'opéra du compositeur corse Henry Tomasi « L'Atlantide » (surtout connu aujourd'hui pour son concerto de trompette) ou pour avoir présenté au public une nouvelle production du « Martyre de Saint Sébastien » oeuvre visionnaire de Debussy, écrite sur un texte de Gabriele d'Annunzio, qui avait été condamnée par l'Eglise lors de sa création en 1911.
Evidemment, une telle démarche ne fut pas sans poser quelques légers problèmes financiers, mais on peut se demander si ce n'est pas là le lot même de l'action culturelle dès qu'elle opte pour une certaine forme d'audace.
Georges Hirsch, président de commission au conseil général de la Seine, était le père de Georges François Hirsch qui, comme son père, a été, en qualité de fonctionnaire, l'un des acteurs de la vie culturelle française des dernières décennies (Co directeur de l'Opéra de Paris, directeur du Théâtre des Champs Elysées, directeur de l'Opéra Bastille lors de son inauguration ou encore directeur général de l'Orchestre de Paris où il vit passer comme chef principal Semion Bychkov, Christoph von Dohnanyi puis Christoph Eschenbach entre autres fonctions).
Onzième arrondissement
Saint Ambroise
Inscrits 10 374
Votants 8 175
Exprimés 8 034
Lallement (sortant, socialiste indépendant) 3 597, réélu
Gardette (PCF) 3 390
Péricaud (républicain) 1 041
Clavaud (divers) 3
Vors (union républicaine) 3
Roquette (1ere circonscription)
Inscrits 7 305
Votants 5 883
Exprimés 5 719
Boissière (Alliance démocratique, ancien combattant) 3 000, élu
Delon (PCF) 2 715
Roquette (2e circonscription)
Inscrits 8 711
Votants 7 160
Exprimés 7 047
Léon Frot (PCF) 3 632, élu
Guyot (Alliance démocratique) 2 271
Camille Renault (Bloc ouvrier et paysan, sortant) 1 142
Sainte Marguerite
Inscrits 10 995
Votants 8 979
Exprimés 8 803
Dr Hatton (alliance démocratique) 4 433, élu
Gayman (PCF) 4 367
Mouly (SFIO) 3
Quatre élections pour le moins disputées qui voient la progression de la gauche en termes de voix, mais pas d'élus.
A noter que le succès le plus net est à mettre à l'actif du communiste Léon Frot sur le second siège du quartier de la Roquette.
L'arrondissement sera toutefois l'objet d'une élection partielle en 1936 dans le quartier Saint Ambroise où, à la suite du décès de Lallement, c'est le candidat communiste Maurice Gardette qui sera cette fois ci élu.
Le point commun entre Léon Frot et Maurice Gardette est qu'ils ont tous les deux été victimes de la répression nazie et vichyste pendant la guerre.
Maurice Gardette, ancien syndicaliste dans la mécanique de précision, s'était établi comme artisan sur métaux rue du Chemin Vert, dans son quartier d'élection.
Arrêté par la police française dès le 5 octobre 1939, Maurice Gardette sera révoqué de ses mandats le 21 janvier 1940 (on peut évidemment se demander pourquoi il y eut ce décalage), connaîtra l'internement à Baillet en France (dans l'ancienne propriété des syndicats CGT des Métaux de la Seine), dans le camp d'Aincourt (un sanatorium de Seine et Oise qui sera transformé comme tel pendant la guerre), puis à la Santé, et à Clairvaux.
En mai 1941, Maurice Gardette est transféré à Châteaubriant.
Et son nom figure dans la liste des fusillés du 22 octobre 1941, avec d'autres élus parisiens, comme Charles Michels, et militants communistes, comme un certain Guy Môquet.
Léon Frot, pour sa part, fut secrétaire de l'Union départementale de la CGT de la Seine et, après avoir été élu en 1936, sera lui aussi arrêté dès l'automne 1939 et connaîtra le même cheminement que Maurice Gardette, transbahuté d'un lieu d'internement à l'autre.
Comme Maurice Gardette, c'est la police française qui l'aura arrêté et ce sont les Allemands qui le fusilleront, en janvier 1942 dans la cour de la centrale de Clairvaux.
Le square Parmentier deviendra le square Maurice Gardette et la rue des Boulets, dans sa partie Nord, devient la rue Léon Frot.
Pierre Delon, candidat dans le quartier de La Roquette, sera candidat de nouveau en 1936 aux législatives et sera à deux doigts de battre Paul Reynaud dans le deuxième arrondissement.
On peut penser que son activité syndicale dans le milieu des employés a pu lui attacher le soutien des employés de commerce et des grands magasins des Grands Boulevards.
Militant syndical de la CGTU puis de la CGT, Pierre Delon a aussi un passé de militant politique contre l'occupation de la Ruhr et l'aventure de la guerre du Rif en 1925.
Secrétaire permanent (et fort irrégulièrement rémunéré) de la Fédération des employés CGTU, il est donc l'un des acteurs les plus engagés de la vie politique et syndicale de Paris.
En 1940, étant mobilisable, il se retrouve au front au sein d'un régiment de défense anti aérienne.
Fait prisonnier par les Allemands, Pierre Delon va s'évader en 1943 pour rejoindre la Résistance, notamment en région Nord Pas de Calais (qui se trouvait sous administration allemande directe)
Il dirigera la libération de Lille et la reparution du journal communiste Liberté.
Revenu sur Paris, il sera de nouveau élu parisien jusqu'en avril 1948 où il décide de se consacrer de manière exclusive à son activité syndicale.
Vital Gayman, pour sa part, a également connu une vie politique particulièrement riche et parfois déroutante.
Jeune bachelier en 1914 (à dix sept ans), il se retrouve mobilisé en 1916 et revient de la guerre de 14 – 18 décoré de la Croix de Guerre.
Engagé en politique, Vital Gayman fait partie des Jeunes socialistes qui, dès le congrès de la Bellevilloise tenu avant le Congrès de Tours, choisissent d'adhérer à la IIIe Internationale et de quitter la SFIO.
Il sera l'un des premiers dirigeants du PCF naissant ou, plutôt, à l'époque, de la Section Française de l'Internationale Communiste.
Engagé dans les luttes contre l'occupation de la Ruhr ou la guerre du Rif, Vital Gayman a connu une période de mise à l'écart au sein du PCF, étant soupçonné de professer des positions trotskistes.
Mais ces errements et difficultés politiques ne l'empêcheront pas, donc, de se retrouver candidat du PCF dans le quartier Sainte Marguerite peu de temps après avoir été embauché comme secrétaire du groupe communiste à l'Assemblée Nationale.
Il quitte cependant le PCF en septembre 1939, après avoir été commissaire en Espagne.
Pendant la guerre, il aide des résistants et des Juifs à passer en Espagne avant d'être arrêté par les Allemands et interné à Aurigny, dans les Iles Anglo Normandes.
Après la guerre, ayant noué des contactes avec le Mouvement prisonnier dirigé par François Mitterrand et Georges Dayan, on le retrouvera, une fois refusée de sa part toute proposition de retour aux fonctions d'élu parisien, dans les fonctions de secrétaire de rédaction au journal parlé de la Radio Télévision Française.
Il sera écarté de la télévision en 1958 et finira sa carrière journalistique comme secrétaire général de la Dépêche du Midi, sur recommandation d'un certain René Bousquet...
Pour les autres candidats du secteur, sans doute conviendrait il de faire quelques recherches complémentaires.
Pour le coup, rendez vous au prochain message pour les autres ballottages...