vudeloin a écrit:Après, il y a d'autres cas, ZImmer, apparemment, évoqués par l'article cité..
L'article L57 du Code électoral précise que seuls peuvent prendre part au deuxième tour de scrutin les électeurs inscrits sur la liste électorale qui a servi au premier tour de scrutin.
Rubarbe a écrit:Quelques interrogations:
- est considéré comme candidat sans étiquette celui qui ne se revendique d'aucun bord ou celui qui n'a pas le soutien financier d'un parti ?
- avez-vous souvenir de candidats "sans étiquette" ayant décroché un siège de député ?
- quand une dose de proportionnelle est introduite, comment s'organise le scrutin ? si cela porte sur 100 sièges, est-ce tranché arbitrairement ou tous les départements sont concernés pour plus d'équilibre ? ou la proportionnelle, si elle s'applique à un département, englobe toutes les circonscriptions ? par ailleurs, si un candidat veut se présenter dans la Nièvre (par exemple), mais qu'il n'appartient à aucune formation politique, comment peut-il le faire si le département est concerné par la proportionnelle ?
J'espère que mes questions sont claires.
Rubarbe a écrit:- avez-vous souvenir de candidats "sans étiquette" ayant décroché un siège de député ?
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ploumploum a écrit:Rubarbe a écrit:- avez-vous souvenir de candidats "sans étiquette" ayant décroché un siège de député ?
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Être élu à l'AN en se présentant comme sans étiquette est très compliqué, à part disposer d'une forte popularité, c'est mission impossible. En général ceux qui se présentent comme "Sans Etiquette" bénéficie du soutien avec ou sans participation d'un parti
Jacques Le Nay, ancien député du Morbihan, s'était présenté comme sans étiquette en 1993. Par la suite, il avait rejoint en 1997 le groupe UDF, et en 2002, le groupe UMP.
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