Emeric a écrit:Une nouvelle vague de sondage effectué par l'IFOP pour France-Soir
vudeloin a écrit:Emeric a écrit:Une nouvelle vague de sondage effectué par l'IFOP pour France-Soir
Histoire de se souvenir comment les choses peuvent bouger, au fil du temps...
Les sondages en question ont un an à deux jours près.
Baromètre ElectionScope des sondages d’intentions de vote (Premier tour) Rapport de force Gauche-Droite (lato sensu)
La droite lato sensu a 13,5 points d’avance sur la gauche au premier tour mais se rapproche de son trend de long terme. En dépit des sondages mirobolants de second tour, selon les principes de l’arithmétique électorale, les 43,25% des voix de gauche au premier tour ne peuvent suffire à F. Hollande pour l’emporter. Rappelons que sous la Vème Rébublique, jamais la gauche n’a gagné avec moins de 49% des voix au premier tour. Il lui faudrait donc bénéficier des voix du centre au second tour. Ceci pose clairement la question des contours de son éventuelle future majorité alors même qu’il durcit sa campagne du côté gauche de l’électorat. Le grand écart serat-il longtemps tenable?
Les estimations des scores de J-L. Mélenchon et de M. Le Pen sont globalement les plus volatiles.
Les instituts affichant le plus de volatilité dans leurs estimations par candidats sont IPSOS et LH2. Les instituts affichant a contrario le moins de volatilité sont l’IFOP et OPINIONWAY.
La lecture et l’interprétation de la volatilité s’avèrent complexes. Trop de volatilité peut signifier une place plus grande laissée au hasard. Cependant, cela peut aussi révéler l’inefficacité de l’outil d’estimation. Au contraire, pas assez de volatilité peut signifier plus de biais systématique et donc plus de correction des estimations.
MORVAN a écrit:Selon «L'Express»cité par le Parisien, le 1er avril 2007, ce modèle de prévision assurait que Jean-Marie Le Pen, avec 16 %, devancerait François Bayrou (13,5 %) au premier tour. Trois semaines plus tard, le candidat du MoDem obtenait 18,57%, contre 10,44% au candidat frontiste. :o
vudeloin a écrit:Si les enjeux emploi, pouvoir d'achat, fiscalité ou encore droit au logement occupent le devant de la scène, Sarkozy sera battu à plate couture.
Dans une autre configuration, où les thématiques morales ou sécuritaires prendraient le pas, sans parler de l'Europe, il peut s'en sortir.
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