de vudeloin » Mar 6 Déc 2011 08:56
Evidemment, tant le rapport de la Cour des Comptes que les rapports budgétaires de René Dosière ont une forte portée symbolique.
Les sommes en jeu ne sont pas très élevées (2,5 milliards d'euros pour la mission Pouvoirs publics, de mémoire, qui comprend d'autres lignes budgétaires que l'Elysée) et la rationalisation des dépenses, outre la sollicitation d'autres missions budgétaires (Sécurité par exemple), ne peut être considérée comme un facteur essentiel de réduction des déficits publics.
A la limite, on peut même dire que l'Elysée coûte plus pour ce qu'il décide ou autorise, que pour son fonctionnement.
Que pèsent les dépenses somptuaires de Sarkozy face au bouclier fiscal, à la niche Copé, aux cadeaux du présumé plan de relance, à la multiplication des partenariats public privé en faveur des groupes "amis" ou au paquet fiscal de la loi TEPA ?