de Jean-Philippe » Lun 3 Mai 2010 20:37
Pour les indemnités, elles sont limitées, du moins pour les parlementaires (et encore, les revenus liés aux fonctions dans les intercommunalités ne sont pas pris en compte je crois). Sur le reste, c'est vrai que les vaincus (de droite en la circonstance) sont souvent assez prompts à choisir le mandat le plus intéressant. Or conseiller régional, a fortiori d'opposition, n'offre pas une grande visibilité. J'aimerais bien savoir si les leaders socialistes battus en 1992 avaient également déserté les conseils régionaux (à une époque où le cumul des mandats était plus grand qu'aujourd'hui il est vrai), en tout cas savoir s'ils siégeaient effectivement.