Les Verts et Europe Ecologie

[Eco92]

Sandrine Rousseau n'a-t-elle pas plutôt à se pencher sur la réforme des retraites ?

Cela tombe bien, elle l'a fait https://www.letelegramme.fr/france/retr ... 179420.php

En tant qu'économiste c'est d'ailleurs une de ses spécialité ce genre de sujet.

Elle a aussi largement interrogé M. Béchu sur les grandes sécheresses.

Littéralement, elle a sur ce sujet répondu a une question, en une minute, ne pouvant y échapper puisque c'était un sujet d'actu.

Le reste est le choix médiatique.

Je dirai juste que le privé est politique et que si M. Bayou faisait de la violence psychologique sur ses compagne non, ça intéresse l'électeur potentiel, et le parti a le droit de régler ainsi son asso. Simplement car ça n'a rien à voir "ce qu'il fait dans sa vie privée" (s'il a plusieurs partenaire, fait du BDSM, est gay, etc. ça ça n'a aucun intérêt entre adultes consentants) et s'il maltraite des gens. Si demain un élu écolo bat ses enfants, c'est dans sa sphère privée, désolé ça m'intéresse.

Mais par contre à ce jour je n'ai pour ma part aucune idée de ce qu'il y au fond de ce qui est reproché à Bayou.

[Perciflette]

Et honnêtement, est-ce que cela grandit la politique française de connaître l'intégralité du tableau de chasse de Julien Bayou ou des autres ?
Est-il normal qu'une femme politique dénonce son collègue sur des allégations invérifiables sur un plateau de télé ? (Il y a des commissariats pour cela).
L'enjeu climatique est-il si inexistant pour les écologistes que leur principale préoccupation sont les culottes de leur voisin, les pissotières et les hommes destructurés ?
Qu'un satire présumé puisse ne pas devenir ministre, cela parait assez normal, mais entrer dans le lit des politiques, quel intérêt ? Qu'est-ce que cela peut nous faire ? Est-ce que cela va sauver la France ?

Sandrine Rousseau est désormais une star nationale, c'est formidable, mais grandit-elle la politique ?

2022, c'est la plus grande sécheresse du siècle, un conflit mondial, un ralentissement économique entrainant des pénuries en série, la crise énergétique couplée à la crise climatique, une hausse des prix vertigineuse, une inquiétude complète des Français sur leur avenir et le sens de leur pays (80 députés RN quand même !), et tout ce que la gauche a à nous proposer, ce sont des certificats de morale et des révélations croustillantes sur qui met qui dans son lit. Mais au secours !!!!!!

Sandrine Rousseau n'a-t-elle pas plutôt à se pencher sur la réforme des retraites ?

Sans vouloir minimiser les conséquences possibles du comportement masculin dans les sphères de pouvoir, il y a en effet une disproportion énorme entre les grands sujets d'actualité et le traitement de ces procédures juridiques internes au plan médiatique.
Une autre manifestation de l'aspect sectaire et totalitaire (et toxique, du moment que le féminisme se limite à la misandrie) du féminisme prôné par Sandrine Rousseau (si vous n'êtes pas avec moi vous êtes contre), c'est qu'elle a inclu la sénatrice Laurence Rossignol comme ayant subi aussi des railleries lors du rassemblement pour les femmes en Iran (à la suite duquel Obono s'est à nouveau illustrée) comme ayant visé toutes les femmes présentes, preuve de sexisme alors que les huées sanctionnaient le comportement lâche des féministes radicales à gauche : pas de voile en Iran, mais en France oui.

Il y a donc bien un abaissement de qualité du débat public, au profit d'idéologies en ces temps où les débats devraient être techniques.

[Draume]

Vous écrivez : Il y a donc bien un abaissement de qualité du débat public, au profit d'idéologies en ces temps où les débats devraient être techniques

Il y a des décennies le débat était au contraire très "idéologue" (Mitterrand Giscard Marchais )
Vous croyez que ce que dit S Rousseau (pourtant battue de peu à la primaire EELV ) est de l'idéologie ?

Par ailleurs le vrai débat politique n'est surtout pas un débat "technique"

[Perciflette]

Vous décrivez là la politique partisane. Au sein d'un parti oui on peut ne pas avoir de débat technique et exercer son idéologie. Jusqu'à ce qu'on prenne le pouvoir.

La politique c'est la gestion de la cité. Il faut donc bien des débats techniques entre des citoyens différents, exemple la réforme des retraites, bien que dans notre démocratie actuelle le débat est verrouillé et que ça menace de se prendre un 49,3 sur le coin de la tête au moindre blocage.
On a effectivement des idéologues depuis bien longtemps, il faut que ça cesse. Pour reprendre Mitterrand il n'y a pas de raison que la culture soit l'apanage de la gauche, pour reprendre le sujet de ce fil, il n'y a pas de raison que l'écologie et le féminisme (je ne parle pas de l'écoféminisme qui est une idéologie sous le prisme du genre) soient prises en otage par la gauche.

L'écologie proposée à gauche est un fourre-tout progressiste non dirigé par des idées pragmatiques à savoir que l'économie y
a sa part (maintien du nucléaire au moins transitoire à mon avis nécessaire).
Le féminisme et l'égalité des sexes : on assiste actuellement à la tombée des masques (même si je n'aime pas cette expression de politique mafieux) et la chute des personnes de gauche qui n'ont pas le monopole de la probité.
Enfin l'androcène, la théorie misandre issue de l'écoféminisme dresse un combat entre l'homme et la femme, et se lie avec l'intersectionnalité contre ce qui est naturel (je ne parle pas des violences conjugales), ce qui est à mon avis la marque du nihilisme de notre société occidentale, où on assiste à la chute de la fécondité et des valeurs morales.

Mon post paraît bien conservateur, mais encore une fois tout progressisme n'est pas un progrès.

[PhB]

Difficile de faire un message plus imprégné d'idéologie que celui-ci, qui pourtant demande professe la fin des idéologies. Vos "débats techniques", Perciflette, ne sont que des partis-pris idéologiques.

Édit : voir modifications en clair ci-dessus.

[Stéphane]

Difficile de faire un message plus imprégné d'idéologie que celui-ci, qui pourtant demande la fin des idéologies. Vos "débats techniques", Perciflette, ne sont que des partis-pris idéologiques.

Perciflette enfile les éléments de langage, comme on enfile les perles.

[pierrep]

Sandrine Rousseau n'a-t-elle pas plutôt à se pencher sur la réforme des retraites ?

Cela tombe bien, elle l'a fait https://www.letelegramme.fr/france/retr ... 179420.php

En tant qu'économiste c'est d'ailleurs une de ses spécialité ce genre de sujet.

Elle a aussi largement interrogé M. Béchu sur les grandes sécheresses.

Littéralement, elle a sur ce sujet répondu a une question, en une minute, ne pouvant y échapper puisque c'était un sujet d'actu.

Le reste est le choix médiatique.

Je dirai juste que le privé est politique et que si M. Bayou faisait de la violence psychologique sur ses compagne non, ça intéresse l'électeur potentiel, et le parti a le droit de régler ainsi son asso. Simplement car ça n'a rien à voir "ce qu'il fait dans sa vie privée" (s'il a plusieurs partenaire, fait du BDSM, est gay, etc. ça ça n'a aucun intérêt entre adultes consentants) et s'il maltraite des gens. Si demain un élu écolo bat ses enfants, c'est dans sa sphère privée, désolé ça m'intéresse.

Mais par contre à ce jour je n'ai pour ma part aucune idée de ce qu'il y au fond de ce qui est reproché à Bayou.

Si vous n'avez aucune idée de ce qui est reproché à Bayou pourquoi évoquez vous ce sujet et surtout trouvez-vous normal que celui-ci ait été littéralement jeté en pâture et à la vindicte publique par Rousseau?

[newritture]

À l'approche du congrès (26 novembre pour le vote des adhérents en région pour élire leurs délégués, 10 - 11 décembre pour le vote des délégués pour notamment élire le Bureau Exécutif dont la secrétaire nationale, puisqu'il semble très peu probable que ça soit un homme) EELV a établi le "nombre vert" (nombre d'adhérents de chaque région qui fixe en conséquence sa réprésentation au Conseil Fédéral, le parlement du parti, et au Congrès). Ce nombre vert est accessible sur le site du parti à la rubrique décisions du conseil fédéral.

Ces informations nous permettent notamment d'apprendre que depuis le congrès de 2019 (nombre vert fixé le 20 septembre 2019 puis le 2 octobre 2022) le nombre d'adhérents est passé de 7 746 à 11 106 (c'est à dire +43%).
Les régions avec le plus d'adhérents sont l'Île de France (28% des adhérents, +28% en 3 ans), Rhône-Alpes (11% des adhérents, +81%), Aquitaine (6% des adhérents, +58%), PACA (idem, +47%) et Pays de la Loire (idem, +14%).
Certaines régions sont ainsi beaucoup plus dynamiques que d'autres, avec 3 régions qui font plus que doubler leur nombre d'adhérents (Hors de France, +180%, Savoie, +170% et Corse, +100%) et d'autres qui perdent des adhérents (Guadeloupe-Martinique et Réunion) ou sont extrêmement peu dynamiques (Languedoc-Roussillon, +7% seulement, Guyane, =...).

Globalement la dynamique ne recoupe pas forcément les victoires des municipales (Franche-Comté, "seulement" +32% alors que Limousin, +59%) même si les déboires montpelliérains (puis dans toute la région aux régionales) ont forcément eu un impact.

En vue du congrès l'évolution la plus notable est la perte d'influence de régions fortement pourvoyeuses de cadres, notamment le Languedoc, Nord Pas de Calais, Pays de la Loire ou PACA mais aussi l'Île de France. Au contraire des régions qui se tiennent ces dernières années à+/- grande distance des enjeux nationaux comme la Bretagne, l'Étranger (Hors de France chez EELV) ou Rhône-Alpes vont avoir une plus grande importance.

Comme on ne connaît pas encore le contour exact des différentes motions et encore moins les listes il est difficile de savoir à qui cela va profiter mais la "défrancilianisation" du parti (-14 délégués au Congrès, -3 représentants au Conseil Fédéral) va forcément rendre le résultat moins prévisible (puisque les différentes motions sont surtout structurées à Paris et en proche banlieue).

Je laisse Eco92 compléter puisqu'il a sûrement une analyse différente de la mienne (d'autant plus que comme pour le précédent congrès on ne fera pas le même choix et qu'il me semble que cette fois ci, contrairement à il y a 3 ans, ça sera compliqué de se retrouver au 2nd tour du congrès).

PS : Il faut savoir que le découpage des régions EELV se fait quasiment sur la base des anciennes régions sauf pour la Normandie (région actuelle) et Rhône-Alpes (Savoie et Haute-Savoie constituent une région à part).

[Eco92]

Honnêtement, parfaitement d'accord sur l'analyse des chiffres, il est intéressant de voir que malgré l'augmentation l'IDF baisse, elle est la plus grosse région EELV (mais c'est de très loin la plus grosse région française, d'autant que la deuxième nouvelle région française est divisée en trois chez EELV, avec la Savoie autonome comme tu l'as rappelé, qui a de beaux chiffres d'évolutions d'ailleurs) mais Rhônes-Alpes est sacrément haut aussi, et la faible dynamique de "grosses régions" historiques comme les PDL (moins deux doublettes) rend vraiment le tableau différent. Globalement dur de tirer d'absolues conclusions mais c'est assurément moins "parisianocentré" qu'on ne le dit.

EELV reste un petit parti, mais c'est la progression en adhésion qui est intéressante. Et je suis toujours frappé par le ratio membres/voix reçues.

La faiblesse dans les DOM TOM est flagrante, avec 8 adhérents en Guyanne, autant qu'en 2019 en effet, c'est quand même ridicule d'avoir une région (j'en comprend tout l'intérêt de fond, mais il y a donc deux doublettes CF à envoyer, soit la moitié de la région).

Ma seule nuance est peut-être sur la forte dynamique en Corse, certes + 100 %, mais on passe de 9 à 18 personnes. La Réunion bauisse, mais de 24 à 22 personnes, ça fait moins 8 % mais bon, suffit d'un couple qui déménage.

Donc si nous ne choisirons sans doute pas la même motion (mais ça n'a jamais été un problème je crois ^^) pas de désaccord d'analyse, je rajouterai que je suis fier d'être dans un parti aussi transparent sur ses adhérents, y compris quand c'était moins flatteur. C'est rare que ce soit publié en données brutes aussi nettes. Elles sont là https://www.eelv.fr/motion-l-organisati ... 022100102/

[newritture]

Avec la déclaration de candidature de Marine Tondelier au secrétariat national, on est désormais à 3 courants du parti qui ont leur candidate au secrétariat nationale, mais aussi le texte de leur motion et leurs premiers signataires publics.

- "La Suite" (Marine Tondelier, conseillère régionale des Hauts de France, élue d'opposition à Hénin-Beaumont et cotrésorière d'EELV) : grande majorité du courant "Grandir ensemble" (motion centrale du parti) auquelle s'ajoute une partie du "Temps de l'Ecologie" (aile "droite", dont le maire de Colombes, la sénatrice de Gironde Monique de Marco ou la députée de Nantes Julie Laernoes) et un plus petit bout du "Souffle de l'Ecologie" (aile "gauche", dont la maire de Poitiers).
Avec sa candidature, elle amène plus de 600 premiers signataires, dont plusieurs maires (Léonore Moncond'huy donc, mais aussi Grégory Doucet, Eric Piolle ou Jeanne Barseghian), députés (Marie Pochon, Julie Laernoes, Christine Arrighi et Nicolas Thierry), sénateurs (Thomas Dossus, Monique de Marco et Daniel Breuiller) et députés européens (David Cormand, Damien Carême, Claude Gruffat et Marie Toussaint). Elle a par ailleurs le soutien de plusieurs membres sortants du Bureau Exécutif : Léa Balage (secrétaire nationale par intérim), François Thiollet (cotrésorier), Charlotte Soulary (déléguée au projet) ou encore Olivier Bertrand (délégué aux parlementaires). Partie il y a longtemps (fin juin) et rassemblant beaucoup de cadres du parti (de toutes les régions, sauf la Guyane) elle est favorite (mais aura peut-être besoin d'une alliance avec une ou plusieurs motions pour obtenir les 50%).
Géographiquement, toute la France est bien couverte, sauf la Guyane (0 soutien) et un peu plus grave les Français de l'Étranger et dans une moindre mesure Limousin et Bretagne.
Enfin, elle agrège la quasi-totalité des gens ayant quitté Génération.s pour rejoindre EELV (Laura Slimani, Joséphine Delpeyrat, Sabrina Benmokhtar...) sauf Claire Monod, Yves Contassot (qui ont leur propre groupe) et Bastien Recher (conseiller régional de Normandie, qui lui a rejoint Nouvelle Dynamique Ecologiste)
Le texte et les signataires : https://sneaky-fruit-206.notion.site/La-Suite-Motion-d-orientation-7a8753eb768a4e53bf1527eaf06b5dbb

- "Nouvelle Dynamique Ecologiste" (Sophie Bussière, conseillère régionale de Nouvelle-Aquitaine, conseillère fédérale d'EELV) : rassemblant la majorité (mais loin de la totalité) du "Temps de l'Ecologie" (aile "droite"), elle a obtenu le soutien de ses membres les moins critiques de la direction actuelle, mais pourrait s'élargir à des plus petits groupes issus du Temps de l'Ecologie (ou s'étant à un moment donné rapproché de "Ce qui nous Lie").
Moins nombreux que "La Suite" ils ont quand même le soutien de 2 députés (Eva Sas et Jérémie Iordanoff) et d'1 député européen (Mounir Satouri). Ils sont surtout forts en Aquitaine, Midi-Pyrénées, Île-de-France, Languedoc-Roussillon, Réunion, Bourgogne, Limousin et Lorraine. Ils leur manquent surtout le soutien d'une partie de LTE du Nord-Pas-de-Calais (autour du secrétaire national par intérim Jérémie Crépel) et de Paris (David Belliard, Chloé Sagaspe, Jean-Baptiste Pegeon...).

Le texte (les signataires sont visibles dans "Nos Soutiens") : http://nouvelledynamique-eco.fr/

- "Ce qui nous lie" (Claire Desmares, conseillère régionale de Bretagne) : focalisée sur les territoires, on les qualifie à EELV de "territorialiste", et notamment la ruralité, Claire Desmares (issue de Grandir Ensemble) mène un binôme avec Damien Deville (géographe/anthropologue issu du Souffle). Ils ont avec eux une centaine de personnes, surtout situées dans quelques régions : Aquitaine, Bretagne, Pays de la Loire, Auvergne, Poitou-Charentes et Ile de France. Ils n'ont, par ailleurs, aucun soutien "de poids" (ni parlementaire ni maire de grande ville ni membre du bureau exécutif sortant...).

Le texte et les soutiens : https://www.cequinouslie-eelv.fr/

D'autres courants, dont celui notamment de Sandrine Rousseau (alliée à la majorité du Souffle autour du porte-parole Alain Coulombel), devraient sortir du bois prochainement puisque le délai pour envoyer au siège d'EELV la motion, la liste des candidats au Bureau Exécutif (15 personnes) et les signataires est fixée au 20 octobre.
Et certains groupes devraient clarifier leurs positionnements d'ici là, notamment :
- Celui construit autour d'Hélène Hardy (déléguée aux élections, issue du Souffle) et de Sabrina Sebaihi (députée, issue du Temps de l'Ecologie) critique à la fois de la direction et de Sandrine Rousseau et orienté quartiers populaires
- Celui construit autour de Sandra Regol (députée), Mélanie Vogel (sénatrice)... issus de Grandir ensemble et critiques de Marine Tondelier et surtout présent en Hors de France et Rhône-Alpes (avec des soutiens éparpillés ailleurs)
- Celui construit autour de Chloé Sagaspe (porte-parole) et Jérémie Crépel (secrétaire national par intérim) issus du Temps de l'Ecologie
- Celui construit autour de David Belliard (adjoint à la mairie de Paris) et Jean-Baptiste Pegeon (membre du Bureau Executif) issus du Temps de l'Ecologie et tellement critiques de la direction qu'ils ont défendu l'alliance avec le courant de Sandrine Rousseau

Bref, ce congrès ne devrait pas être très simple, puisqu'à la ligne de fracture "pour ou contre la majorité historique/actuelle" s'ajoute la ligne de fracture "pour ou contre Sandrine Rousseau".
Sur la NUPES tout le monde est plutôt aligné et tous devraient défendre clairement une liste écologiste autonome aux européennes (sauf peut-être les "rousseauistes" ?). Les principales dissensions au sein des différents groupes composant les minorités internes sont donc vraiment leur volonté ou non de fusionner au second tour avec "La Suite" ou avec les "rousseauistes" ou personne et la composition des listes (puisqu'il n'y a que 15 places au Bureau Executif).

J'espère avoir restitué assez fidèlement la situation et ne pas vous avoir trop perdu. Personnellement, après avoir signé Grandir lors du dernier congrès je suis membre actif de La Suite.