Ambroize Croisat a écrit:Eriko a écrit:
Mélenchon est passé de 19% à la présidentielle à 11% aux législatives avec des inconnus et sans moyens. Le PCF aura souvent des candidats implantés correctement et des fédérations avec des ressources.
C'est cette hallucination justement que je pointe parmi les dirigeants de la campagne. Le PCF a de moins en moins de candidats implantés et connus, et moins de ressources à jeter par les fenêtres. Quant on pense qu'en Allier il n'y a plus que 2 conseillers généraux, certaines pertes du 94 et du 93, la perte de villes (22, 18, 19, etc.) dont les maires auraient pu être identifiés clairement, non je suis désolé mais le PCF a de moins en moins de candidats implantés localement.
Quand on voit les circo où le PCF performe en 2019 aux européennes (cf. la page sur EELV), il faut juste revenir à plus de sérieux et d'analyse.
Ces dernières semaines, nous avons par exemple publié des articles sur :
- L’enquête enterrée, après l’affaire Benalla, par un service du ministère de l’intérieur concernant des prestations suspectes dans la campagne d’Emmanuel Macron en 2017 (lire ici), ou sur les affaires pendant le quinquennat Macron (lire là ).
- La fuite impressionnante des cadres dans le parti de Marine Le Pen (lire ici), ainsi qu’une bande dessinée synthétisant les affaires de l’extrême droite couvertes par Mediapart ces dernières années (voir là ).
- Le financement de la campagne d’Éric Zemmour, la sociologie de ses soutiens, la pénétration de ses idées xénophobes dans la haute fonction publique (lire par exemple ici), ou encore les témoignages de femmes qui accusent le candidat d’extrême droite (lire là ).
- Le clientélisme mis en place par Valérie Pécresse pour récupérer des soutiens, d’abord dans son micro-parti Libres! (lire ici), ensuite pour l’emporter lors de la primaire de la droite (lire là ).
- Les ratés de la campagne de Yannick Jadot (lire ici), les problèmes de comportement de son encombrant Monsieur sécurité (lire là ), et les pressions financières exercées par son parti sur la primaire populaire (ici).
- Le crash de la campagne d’Anne Hidalgo (lire ici), les conflits d’intérêts d’un de ses proches soutiens (là ), ou encore son aveuglement dans l’affaire Girard à la mairie de Paris (là ).
- Les affaires financières de la campagne de Jean-Luc Mélenchon en 2017, et la mise en cause de plusieurs de ses proches (lire ici).
- L’échec de la campagne de Christiane Taubira (lire ici), candidate sans programme (lire là ).
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