stephed a écrit:Ces tensions risquent d'avoir une conséquence sur les prochaines départementales dans les Landes parce qu'elles risquent d'empêcher l'intéressé d'être candidat sur le canton du Pays Tarusate (non pas que les départementales soient la cause des tensions).
Et effectivement, conséquence de la "chienlit" à Tartas, Jean-François Broqueres (LREM) a évité d'être candidat aux départementales sur le canton du Pays Tarusate. Certes le canton n'était pas gagnable pour lui au départ (nettement élu ou réélu sur les deux plus grosses communes du canton aux municipales, le sortant Paul Carrère (PS) et son suppléant étaient les favoris du scrutin) mais son absence du scrutin aura offert un boulevard aux sortants qui n'auront eu besoin que d'un tour de scrutin pour l'emporter.