alamo a écrit:A Trappes Guy Malandain (parfois nommé Guy Malandrin ;-) est nettement devancé (plus de 10 points) par un Franco-Marocain trentenaire, ancien chef de Cabinet de B. Hamon qui l'avait propulsé à Trappes où il était maire adjoint à la jeunesse et aux sports (bonne tribune dans la population). Etiquette G's et soutien PCF et EELV...
Nico78 a écrit:alamo a écrit:A Trappes Guy Malandain (parfois nommé Guy Malandrin ;-) est nettement devancé (plus de 10 points) par un Franco-Marocain trentenaire, ancien chef de Cabinet de B. Hamon qui l'avait propulsé à Trappes où il était maire adjoint à la jeunesse et aux sports (bonne tribune dans la population). Etiquette G's et soutien PCF et EELV...
Je ne raffole pas des termes employés ni pour le maire sortant ni pour le challenger... Ali Rabeh (ce jeune homme a un nom, il ne se résume pas à ses origines) n'est pas un inconnu. C'est le bras droit de Hamon, il a été le principal animateur de la campagne de Hamon aux présidentielles et c'est un gros bosseur.
Je ne suis pas étonné de le voir réussir sa campagne ; Guy Malandain me semble en grande difficulté.
alamo a écrit:C'est Ali Rabeh lui-même qui se définit comme franco-marocain.
Je ne vois d'ailleurs pas ce qu'il y aurait de péjoratif à cela...
Quant à "Malandrin" le surnom vient de la série le Baron Noir dont les clés sont parfois assez évidentes...
alamo a écrit:Evidemment ils n'allaient pas en plus le situer dans le même département. On peut même supposer que les auteurs de la série ont fait un mélange entre Trappes et Denain.
Comme dans Engrenages le personnage (féminin) de maire du 93 ne ciblait pas un édile en particulier.
Par ailleurs beaucoup de posts ici ne citent pas forcément les noms de tout le monde, et dans l'ensemble du bilan général de ce fil (le PCF) je n'en ai même quasiment cité aucun, ce n'était pas essentiel.
pmf non plus ne cite quasiment jamais de noms...
« Je n'ai pas le moindre contact avec Philippe Brillault, s'énerve Richard Delepierre. Il m'est impossible d'obtenir l'organigramme de services ou les orientations du prochain budget. Rien, rien, rien… La volonté est manifeste de ne pas faciliter ma prise de fonctions et de coopérer avec la future équipe. »
« Dans une voiture, il ne peut y avoir qu'un seul chauffeur et c'est moi », martèle Philippe Brillault.
« Je n'ai pas décidé de rester maire. C'est le gouvernement qui l'a voulu, se défend Philippe Brillault. Y'a-t-il besoin d'une collaboration ? Non, je ne le crois pas, car ce qui se décide en ce moment n'est que factuel. Dans une voiture, il ne peut y avoir qu'un seul chauffeur et c'est moi qui suis derrière le volant. Richard Delepierre demande un organigramme mais il le connaît aussi bien que moi puisqu'il est déjà élu. La ville est complètement désorganisée par la crise en ce moment. C'est un faux débat. »
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