Sylvie Schmidtgall s’estime « blanchie ». Le 16 mai, l’ex-adjointe au maire de Longuyon a appris que la plainte déposée contre elle pour propos à caractère xénophobe avait été classée sans suite.
"Retour en 2014… Cinq mois après avoir été élue aux côtés de Jean-Pierre Jacque, Sylvie Schmidtgall se voit soudain retirer ses délégations à la culture et à l’animation par ce dernier." Pour quel motif ?
"Lors d’un échange sur les réseaux sociaux avec un employé communal, Sylvie Schmidtgall aurait tenu des propos insultants au sujet d’un autre salarié de la Ville. Celui-ci avait déposé plainte... "
Le parquet de Briey n'a pas relevé de connotation xénophobe ni que l'intéressé ait été particulièrement visé.
Le maire… qui s'était institué juge....savait depuis 2 ans la réalité des faits...suite à une confidence de l'intéressé.
Que croyez-vous qu'il arrive ?
"Le maire ne compte pas réintégrer son ex-alliée. « C’est une ancienne affaire et il reste moins de deux ans avant les élections. Je ne vois pas l’intérêt. Ni pour nous, ni pour elle. » (sic)
Sylvie Schmidtgall réclame sa réintégration comme adjointe. .." en vain
Cette affaire, rapportée par Le Républicain Lorrain, est lamentable et illustre combien, sur un soupçon, un dépôt de plainte, on peut trancher et contribuer à salir la réputation de quelqu'un ....en prononçant une sanction publique.....
Notre justice est lente et c'est bien un malheur pour celui (celle) qui n'a rien à se reprocher...
Et, de surcroît, le maire ne veut pas reconnaître sa faute...et la réintégrer ! Bravo !
Souhaitons que les électeurs de Longuyon sauront, eux, faire preuve de bon sens en 2020 et renvoyer chez lui ce triste individu et tous ceux qui, au conseil municipal, "laissent faire" et se taisent... .
Cette affaire mérite amplement d'être popularisée.
Bertrand SALVAT