Le groupe d'expert de l'ONU (des "ordures sans parole" selon le président du Parlement) ont aussi fait part de leur grands doutes et désapprobation sur la manière dont les résulats ont été annoncés.
Les président de gauche d'Amérique du Sud, Petro (Colombie) et Lula (Brésil) ont aussi pris leur distance, appelé à la pacification avec la levée des sanctions, mais aussi de nouvelles élections. Biden s'est dit "pas opposé" à de nouvelles élection et, de manière peut être innatendue, c'est l'opposition qui rejette cette idée, arguant que les élections leur ont donné la victoire et qu'il suffit de prendre les résultats réels. Ils refusent un retour aux urnes illégitime.
Les députéont été rappelés de vacances pour voter une loi réglementant les ONG et associations et pour réprimer le « fascisme », un terme qui regroupe toute personne s'opposant au pouvoir en place.
Tout ça va encore être bien compliqué pour les vénézuéliens, et les experts s'attendent à un nouvel exode, un de plus.
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