Je vois ici que la "proposition de modification des dispositions du traité relatives à la composition du Parlement européen adoptée le 11 octobre 2007 (rapport des rapporteurs Alain Lamassoure et Adrian Severin à la commission des affaires constitutionnelles)" déjà rejetée par le conseil européen qui a préféré les habituelles discussions de "marchands de tapis" lors de l'adoption du traité de Lisbonne est renvoyée au calendes grecques.
Après ce premier échec, la commission des affaires constitutionnelle a demandé un étude qui a été rendue en 2011.
Ce rapport conduit, comme le précédent, a utiliser une formule mathématique simple qui s'adapte aux modifications de populations ainsi qu'aux éventuels élargissements.
Aujourd’hui cette même commission recommande d'ajuster le "troc de Lisbonne" et renvoie à plus tard l'élaboration d'une répartition mathématique des sièges.
Rappelons que la France est le principal perdant de ce marchandage de Lisbonne qui lui fait perdre pas moins de 11 sièges.
Le Compromis de Cambridge.