manudu83 a écrit:Cela a beaucoup plus de rapport avec le mode de scrutin qu'avec le contexte local plus important aux départementales.
manudu83 a écrit:Cela a beaucoup plus de rapport avec le mode de scrutin qu'avec le contexte local plus important aux départementales.
Azertyuiop a écrit:Dans ce cas, comment expliquer l'absence de (vraie) vague bleue en 2015 ? Et puis, la droite a connu trois renouvellements consécutifs où le scrutin lui était défavorable(2004,2008 et 2011) et elle a quand même gardé 40 départements.
Relique a écrit:Azertyuiop a écrit:Dans ce cas, comment expliquer l'absence de (vraie) vague bleue en 2015 ? Et puis, la droite a connu trois renouvellements consécutifs où le scrutin lui était défavorable(2004,2008 et 2011) et elle a quand même gardé 40 départements.
Parce que la concentration de votes ne se fait pas que canton par canton, mais aussi département par département. Il y a des bastions inexpugnables. Je ne vois pas les Hauts-de-Seine, les Alpes Maritimes, l'Alsace tomber à gauche, même en cas de raz de marée rose.
C'est surement moins le cas avec les régions (sauf l'Alsace évidemment) qui, étant des territoires plus vastes, allient plus facilement des départements de droite avec des départements de gauche (encore que ce ne soit pas toujours le cas).
spinto a écrit:Disons que le mode de scrutin favorise le caractère local du scrutin.
Nul doute que des élections départementales avec un mode de scrutin similaire à ceux des régionales connaitraient également des mouvements de balanciers plus marqués.
Relique a écrit: Je ne vois pas les Hauts-de-Seine, les Alpes Maritimes, l'Alsace tomber à gauche, même en cas de raz de marée rose.
alamo a écrit:pas socialiste, ça c'est le score de la gauche au deuxième tour après fusion de trois liste.
au premier tour le PS était à moins de 23%...
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