Ce que donnerait la règle du "3e quand le FN est 1er":
en ALCA retrait de Masseret (PS) (35 FN, 25 UD, 16 PS, 6 EELV)
en ALPC rien (PS/UD/FN 3e)
en
ARA rien (UD/FN 2e/PS)
en
Bourgogne-Franche-Comté retrait de Dufay (PS) (FN 31 /UD 24 /PS 23)
en Bretagne rien (UG/UD/FN 3e)
en Centre-Val de Loire retrait PS (FN 30/UD 26/ PS 24)
(en Corse FN 5e...)
en Ile-de-France rien (UD/PS/FN 3e)
en
Languedoc-Roussillon-Midi-Pyrénées retrait de Reynié (UD) (FN 31 / PS 24 / UD 18 / EELV-FdG 10)
en
NPDCP retrait de de Saintignon (PS) (FN 40 / UD 25 / PS 18)
en
Normandie, rien (UD 27.9, FN 2e à 27.7, PS 23,5) mais ça se joue à peu; réserves à gauche.
en Pays-de-la-Loire rien (UD/UG/FN 3e)
en
PACA retrait de Castaner (PS) (FN 40 / UD 26 / PS 16)
En ayant cette grille, on voit que le "critère" réel s'il y en a un (pour arriver à 2 retraits PS et non 6 voire 7 dont 1 UD) n'est pas d'être 3e avec FN 1er mais que ce soit le cas avec FN au-dessus de 36 ou plus de 21 points de retard sur lui: PACA et NPDCP.
Masseret est juste sous ces couperets et se permet donc de rester, juste pour participer pas pour gagner, il ne fusionnerait même pas avec EELV.
Quant aux autres cas (les 3 à tête UDI + LRMP), le FN y est à moins de 32. Or dans les sondages il ne monte souvent que d'un point entre les deux tours: vu comme ça, il ne peut pas gagner (il faut 33,4 minimum), même si c'est moins sûr en réalité, surprises possibles... Le résultat entre UD et UG est par ailleurs généralement indécis, ce qui veut dire a minima que le 3e du premier tour peut ne pas l'être au deuxième. Sauf Reynié (UD) en LRMP dont on peut être assez sûr qu'il sera dernier.