SALVAT a écrit:Souhaitons que ce dérapage inacceptable ne détourne pas l'attention des électeurs du seul objet du scrutin, à savoir l'avenir de la ville et de la métropole toulousaine. Des imbéciles, il y en a toujours eu...heureusement minoritaires.
Jean-Luc MOUDENC doit l'emporter sur son programme et sa gestion passée qui plaident pour lui.
Pourquoi les toulousains lui préféreraient-ils la voie de l'aventure ?
Bertrand SALVAT
Estagel66 a écrit:Dans la ville phare de l'aéronautique, industrie en crise, la question suivante se posait :
"Peut-on élire à Toulouse un maire qui n'aime pas les avions ?".
La réponse des toulousains a été "NON".
Une étude par bureau démontre que la Droite s'est fortement mobilisée au 2nd tour (+ de 50% de participation) et que les bureaux de gauche populaire ont peu voté (20 à 25%). Du coup, Moudenc arrive en tête dans des quartiers comme Empalot ou le Mirail.
La liste de gauche est en tête dans les bureaux "bobo" du centre ville et très rarement dans les bureaux des quartiers périphériques.
Les nouveaux électeurs se sont prononcés à + de 80% pour Moudenc.
La suppression d'emplois à Airbus était un secret de polichinelle, d'où la question évoquée ci-dessus. Toulouse, mais aussi l'ancienne région Midi-Pyrénées, vont beaucoup souffrir de cette crise et la revitalisation de l'Economie sera un enjeu majeur de la décennie à venir.
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