PhB a écrit:J'aimerais savoir si l'appartenance du maire (ou de l'ancien maire dont le nom reste associé à l'équipe municipale et à la liste candidate) à un gouvernement est, de manière générale, plutôt favorable (l'électeur voterait pour celui qui assure le meilleur relai entre le local et le national) ou plutôt pénalisante (ville symbolique pour montrer un ras-le-bol) ?
ploumploum a écrit:Le Blanc-Mesnil (Seine-Saint-Denis) pourrait basculer à droite en cas de division de la gauche, comme en 2008.
En effet, lors des dernières municipales, la liste du maire sortant, Daniel Feurtet (PCF), avait remporté le scrutin au 2nd tour pour 45 voix sur la liste UMP-NC, dans le cadre d'une triangulaire avec une liste socialiste dissidente.
Tenant compte des situations locales, des résultats des municipales de 2008, des présidentielles et des législatives de 2012, une quinzaine de villes (seulement) se révèlent "gagnables" pour l'opposition nationale contre une trentaine pour la majorité.
Apparaissent aujourd’hui « gagnables » par l’opposition, des villes autrefois détenues, comme (par ordre de départements) : Salon de Provence, Brive, Ajaccio, Valence, Roanne, Saint-Chamond, Angers, Reims, Thionville, Poissy, La Seyne, Auxerre et Belfort.
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