Eco92 a écrit:Le Parti Radical de gauche (celui qui a fusionné avec le mouvement radical plutôt macroniste puis a défusionné pour rester dans des alliances à gauche) a voté à 90% l'autonomie pour les législatives, expliquant que « Nos désaccords avec la force motrice de cette union sont considérables, (…) sur l’indépendance énergétique de la France, sur les questions géopolitiques et de défense », le nucléaire, la laïcité, etc. sont mis en avant.
Le PRG avait eu 10 élus en 2017, dont sept élus avec LREM, une (la dirigeante Sylvia Pinel) élue sans candidat LREM et deux (Jeanine Dubié et Olivier Falorini) qui ont battu un candidat LREM au second tour. Seuls les trois derniers, qui siègent dans le groupe Liberté et territoire, sont officiellement encore membre du PRG.
https://www.lemonde.fr/politique/articl ... 23448.html
https://www.partiradicaldegauche.fr/nos-deputes/
Comme indiqué dans le fil Union de la gauche.
Le PRG avait obtenu le financement public en 2017 (795000€/ans), il cherchera assurément à l'obtenir de nouveau.
Ils annonceront leurs premier candidat le 6 mai et visent à terme une centaine de candidature, j'imagine ciblées sur des circos où les 1% sont dépassables, notamment dans le sud-Ouest.
Les axes défendus seront :
- une retraite anticipée liée à la pénibilité ;
- un capital de départ de 40.000 euros pour tous les jeunes dès 18 ans ;
- une taxe sur le « luxe carboné » ;
- une loi sur la fin de vie ;
- une réforme profonde de la démocratie au sein des entreprises notamment.
Le PRG appelle par ailleurs "à la création d’une maison commune de la gauche républicaine et européenne dans laquelle il pourrait se fondre à l’issue des législatives."
https://www.partiradicaldegauche.fr/com ... ependance/