Élections législatives de 2022 - Paris

[lostinthemiddle]

Vous pensez au Parti Rhinocéros en effet ! (enfin le "néo-Rhino" dans ce cadre) Célèbre parti demandant l'élection d'un rhinocéros comme premier ministre, qui a eu des candidats comme le chanteur Robert Charlebois, le leader de Beau-Dommage, l'important poète Gaston Miron ou Guy Laliberté, qui fondera le théâtre du soleil...
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/12 ... ros-beauce
Aux curieux : https://fr.wikipedia.org/wiki/Parti_Rhi ... (1963-1993)#Candidats_notables

En effet, quant à l'Autriche, c'était la branche locale de Die PARTEI qui avait présenté des "Liste KURZ" aux élections de Vienne, contre le chancelier fédéral à cette époque.

[Eco92]

Au Québec, le procédé a été utilisé de manière bien moins amusante par l'Union nationale dans les années 1940 et 1950 contre les libéraux. Avec des hommes de paille. Afin de diviser le vote. C'était une des pratiques courantes de l'UN avec d'autres méthodes bien moins démocratiques monnaie courante jusqu'aux élections de 1960 et la victoire du Parti libéral: bourrage d'urne, corruption, intimidation des électeurs.

La dernière fois que cela a été utilisé de manière massive c'était lors des élections provinciales de 1960. René Lévesque (alors candidat libéral dans Montréal-Laurier) a dû affronter deux autres René Lévesque, hommes de paille de l'UN.

On sort un peu du sujet mais il est vrai que c'est tout à fait intéressant.

Par contre, après vérification, Lévesque n'a eu qu'un Lévesque face à lui en 1960. Il a gagné l'élection avec seulement 127 voix d'avance quand son homonyme en récupérait 940...

Ci-dessous, un extrait du Devoir

Bon, retournons à Paris ^^

[Républicain67]

Au Québec, le procédé a été utilisé de manière bien moins amusante par l'Union nationale dans les années 1940 et 1950 contre les libéraux. Avec des hommes de paille. Afin de diviser le vote. C'était une des pratiques courantes de l'UN avec d'autres méthodes bien moins démocratiques monnaie courante jusqu'aux élections de 1960 et la victoire du Parti libéral: bourrage d'urne, corruption, intimidation des électeurs.

La dernière fois que cela a été utilisé de manière massive c'était lors des élections provinciales de 1960. René Lévesque (alors candidat libéral dans Montréal-Laurier) a dû affronter deux autres René Lévesque, hommes de paille de l'UN.

On sort un peu du sujet mais il est vrai que c'est tout à fait intéressant.

Par contre, après vérification, Lévesque n'a eu qu'un Lévesque face à lui en 1960. Il a gagné l'élection avec seulement 127 voix d'avance quand son homonyme en récupérait 940...

Ci-dessous, un extrait du Devoir

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Bon, retournons à Paris ^^

Vous devez avoir raison. Je dois confondre avec un autre cas. Oui revenons à Paris.

[Eco92]

Yves Frémion, ex député européen et conseiller régional EELV, figure de Fluide glacial, est candidat dans la 6e circo pour PEPS (pour une écologie populaire et sociale) face à Sonia Chikirou de la NUPES notamment. J'ai du mal à comprendre la logique de cet ex courant de l'aile gauche d'EELV qui voulait l'alliance avec LFI...
En 2017 il s'était présenté face à Cécile Duflot dans cette même circo pour "Citoyens, solution", micro-parti allié à R&PS pour le financement. Il avait obtenu 1,89 % (803 voix).

[lostinthemiddle]

Julianne Faux a été investie par Bastir Occitanie dans la 1ère circonscription du département.

https://lo-lugarn-pno.over-blog.org/202 ... /2022.html

[Ramdams]

7e circonscription de Paris - député sortant : Pacôme Rupin (LREM), ne se représente pas
Sondage Ifop-Fiducial pour le JDD et Sud Radio réalisé par téléphone du 31 mai au 3 juin, auprès de 601 personnes

Premier tour : (comparatif par rapport à 2017)
- Caroline Mécary (LFI-NUPES) : 41 % (36 % pour l'ensemble de la gauche, éparpillée)
- Clément Beaune (ENS) : 36 % (42.98 % pour Pacôme Rupin)
- Constance Delétang (REC) : 6 %
- Aurélien Véron (LR) : 5 % (9.84 % pour Vincent Roger)
- Anne Daguenel (RN) : 2 % (2.47 % pour Isabelle Cochard)
- Gaspard Chameroy (E - divers écologistes) n°1 : 2 %
- Naïma Moghir (EAC - Cap21) : 2 %
- Thomas Moulins (Parti animaliste) : 1.5 % (1.03 % pour Julie Martin)
- Rodrigue Flahaut-Prevot (PRG) : 1.5 %

Second tour :
- Caroline Mécary (LFI-NUPES) : 51 %
- Clément Beaune (ENS) : 49 %

Je sais que le total au premier tour est inférieur à 100 %, le sondage n'a été détaillé que partiellement par l'article du JDD, lequel d'ailleurs ne mentionne pas les noms des candidats "divers écologistes", ni même celui du Parti animaliste.

Le premier tour ne réserve pas de surprise, le second tour sera en revanche beaucoup plus serré. Il est mentionné que Beaune fait à peu près le même score que Macron à la présidentielle dans cette circonscription (36.4 %) tandis que Caroline Mécary fait moins que l'ensemble de la gauche à la présidentielle (46 %).

[Relique]

7e circonscription de Paris - député sortant : Pacôme Rupin (LREM), ne se représente pas
Sondage Ifop-Fiducial pour le JDD et Sud Radio réalisé par téléphone du 31 mai au 3 juin, auprès de 601 personnes

Premier tour : (comparatif par rapport à 2017)
- Caroline Mécary (LFI-NUPES) : 41 % (36 % pour l'ensemble de la gauche, éparpillée)
- Clément Beaune (ENS) : 36 % (42.98 % pour Pacôme Rupin)
- Constance Delétang (REC) : 6 %
- Aurélien Véron (LR) : 5 % (9.84 % pour Vincent Roger)
- Anne Daguenel (RN) : 2 % (2.47 % pour Isabelle Cochard)
- Gaspard Chameroy (E - divers écologistes) n°1 : 2 %
- Naïma Moghir (EAC - Cap21) : 2 %
- Thomas Moulins (Parti animaliste) : 1.5 % (1.03 % pour Julie Martin)
- Rodrigue Flahaut-Prevot (PRG) : 1.5 %

Second tour :
- Caroline Mécary (LFI-NUPES) : 51 %
- Clément Beaune (ENS) : 49 %

Je sais que le total au premier tour est inférieur à 100 %, le sondage n'a été détaillé que partiellement par l'article du JDD, lequel d'ailleurs ne mentionne pas les noms des candidats "divers écologistes", ni même celui du Parti animaliste.

Le premier tour ne réserve pas de surprise, le second tour sera en revanche beaucoup plus serré. Il est mentionné que Beaune fait à peu près le même score que Macron à la présidentielle dans cette circonscription (36.4 %) tandis que Caroline Mécary fait moins que Mélenchon (46 %).

Ce n'est pas Mélenchon, mais l'ensemble de la gauche (Mélenchon - Jadot - Hidalgo - Roussel) qui obtenait 46%. Mélenchon obtenait 31% des voix dans cette circonscription. Donc la candidate NUPES obtient l'équivalent de deux tiers des suffrages de gauche hors Mélenchon si on considère qu'elle obtient 100% des suffrages de Mélenchon (il ne s'agit pas évidemment de reports mais de participation différentielle).

Avec de tels scores au premier tour, j'imaginerais plutôt Beaune vainqueur au second. Mais les reports du premier au second tour sont la vraie inconnue du scrutin donc...

[Ramdams]

Ce n'est pas Mélenchon, mais l'ensemble de la gauche (Mélenchon - Jadot - Hidalgo - Roussel) qui obtenait 46%. Mélenchon obtenait 31% des voix dans cette circonscription.

Au temps pour moi, la formulation de l'article était ambiguë. J'ai corrigé.

[VincentLP92]

Dans cette circonscription très marquée au centre gauche (voir bobo), parachuter pour la NUPES un représentant de LFI n'était peut-être pas le meilleur choix. D'autant qu'elle ne semble pas avoir d'ancrage local (elle était élu du XIVe en 2014-2020).
C'est une situation qui se reproduit dans de nombreux endroits.

Ce sondage nous donne des informations assez précises et instructives.
La candidate NUPES sous-performe (un peu) alors qu'elle n'a pas de concurrent sérieux à gauche. Les parachutages, ça marche plus si bien que ça.
Par contre, l'électorat de centre gauche ne semble pas se reporter sur Renaissance, qui se contente de maintenir le score de Macron : pas d'élan présidentielle donc ni de vote-sanction, alors même qu'il s'agit d'un ministre.

[Sergent Bauchat]

Caroline Mecary aura un gros problème :
Le maire de Paris Centre, Ariel Weil et celui du 11ème, François Vauglin, ne la soutiennent pas. Pas plus que l'ancien député de la circonscription, Patrick Bloche.
Elle est par contre soutenue par la maire EELV du 12ème.