ChristianC. a écrit:"Pas d'effet guerre" ? Quand même une sorte de cohérence :
Zemmour, admirateur avéré de Poutine, - 1%
Mélenchon, admirateur supposé de Poutine, - 1%.
Tous les deux au rebours de leur dynamique de "l'avant-guerre".
Et on peut ajouter Roussel (selon une équation fantasmée facile : Roussel = communiste = URSS = Russie = Poutine), - 1%.
En revanche, Jadot, de longue date détracteur de Poutine, + 1%
Pécresse, représentant un parti "rassurant" par son expérience du pouvoir, + 1%
Macron, chantre des valeurs européistes foulées aux pieds par Poutine, + 1%.
Certes, il s'agit de mouvements de 1 % ; mais 1% sur un rolling, cela me paraît beaucoup : la semaine dernière, on commentait avec passion des mouvements de 0.5%.
Ces 1% déplacés ne sont-ils pas les premiers craquements d'un glissement du terrain électoral d'une ampleur encore inconnue, mais potentiellement considérable, et dévastateur pour certains candidats ?
Reste le +1% de Le Pen, qui entre mal dans ce schéma; à moins d'une autre équation fantasmée facile : Marine Le Pen = Jean-Marie Le Pen = anticommunisme = antirussie = antipoutine ?
Azertyuiop a écrit:Par ailleurs, ce sondage a été réalisé bien trop tôt pour mesurer les impacts éventuels de l'invasion russe : il y a toujours un temps d'infusion de plusieurs jours (au minimum) entre un événement et sa répercussion sur les sondages d'opinion.
benoit49 a écrit:près de 70 % d'intention de vote pour des candidats qui ne veulent pas dégeler le point d'indice (fixant la rémunération de base de tous les agents) qui réduit pourtant de 15% depuis 10 ans le pouvoir d'achat des fonctionnaires...: soit les gens ne lisent pas les programmes, soit ils sont sado masos, ou les deux..
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