pierrep a écrit:Laurence Rossignol est Sénatrice ( de l'Oise) et non pas Députée.
Pardon, en effet, merci de rectifier !
pba a écrit:Raphadu86 a écrit:Arnaud Montebourg songerait très sérieusement à se lancer,
Si le créneau choisi est celui de JP Chevènement en 2002 peu de chances pour AM, le camp souverainiste devant avoir de multiples représentants : M.Le Pen, F.Philippot, N.Dupont Aignan sur la droite, Asselineau ailleurs et d'autres peut être à gauche.
Quant à briguer l'investiture PS, AM pourrait avoir beaucoup de concurrents .
Prétendre représenter toute la gauche serait sans doute hors de portée pour AM (surtout s'il est resté pro-nucléaire)
Sur le "peu de chances pour AM", je ne partage pas l'avis: d'accord, le camp souverainiste aura sans doute plusieurs représentants, mais ils partent tous plus ou moins affaibli.
Marine Le Pen est très certainement la moins affaiblie, mais pour les autres...: je ne suis absolument pas convaincu de la capacité de Florian Philippot à réunir les 500 parrainages, NDA devrait pouvoir les avoir, mais
quid de ses forces militantes ? Enfin, en ce qui concerne François Asselineau, rien n'est certain là encore. Les prochaines élections régionales devraient montrer l'état des forces militantes de l'UPR suite aux suspicions visant François Asselineau et à la "scission" Génération Frexit. D'autant plus que François Asselineau avait été assisté par Norbert Chetail -
qualifié par cet article de "dénicheur de parrain"- (qui avait permis la candidature de Philippe de Villiers en 2007, de Nicolas Dupont-Aignan en 2012 et celle de François Asselineau en 2017), et que rien n'indique qu'il sera toujours à ses côtés en 2022.
Pour ce qui est des "autres peut-être à gauche", j'ai du mal à en voir d'autres. Arnaud Montebourg est sans doute le moins mal placé dans ce contexte.
Je ne suis pas convaincu qu'il s'inscrive réellement dans le cadre PS et qu'il cherche à en obtenir particulièrement l'investiture.
Et enfin, sur le "prétendre représenter toute la gauche", je ne pense pas que ce soit précisément ce qu'il pourrait viser stratégiquement.
D'ailleurs, un parti vient d'être créé pour soutenir Montebourg en cas de candidature en 2022. Il s'appelle "L'Engagement" (comme son dernier livre) et est présidé par un de ses anciens conseillers ministériel, Valentin Przyluski. (
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