ligerien a écrit:Une vidéo, que je ne peux que vous conseiller.
https://m.youtube.com/watch?v=n4J8kydOvbc&feature=share
Il s'agit de Didier raoult epidemiologiste à la Timone à Marseille.
Il y présente les résultats d'une étude qu'il a menée sur 24 cas, inspiré de travaux chinois et saoudiens.
Il y explique le protocole à base d'un courant traitement anti palu et d'antibiotiques. Au passage j'apprends que certains antibiotiques ont des effets sur certains virus.
L'exposé est en creux un réquisitoire contre la politique de santé publique actuelle.
Tout d'abord, il moque la méthode tout confinement. La renvoyant au moyen âge, où l'on n'avait que ça, et que ça ne marchait déjà pas à l'époque.
Ajout personnel : Faisons n'importe quoi c'est peut-être mieux que rien...
C'est en effet dramatique d'en arriver là (avec les graves effets en termes de maladies psychiques) mais on a refusé de se préparer en amont, comme l'observe encore Ligerien citant Didier Raoult :
ligerien a écrit:La seule méthode qui vaille, comme pour toute maladie infectieuse : détecter et traiter.
Côté tests, dezingage de notre politique, nous ne classant pas dans les pays développés. Le taux de test par habitant fait mal.
Oui.
ligerien a écrit:Il s'en prend aux plateaux télé, au pseudo experts, aux statisciens de comptoir sur la letalite du virus, ne retenant que les chiffres des pays testant correctement : Corée, Allemagne,...
Le bateau diamond princess donnant un résultat de vase clos à 1%, mais sur estimant la réalité puisque l'échantillon était beaucoup plus âgé que la moyenne.
Digression personnelle, le nombre de malades, cela a été dit par ici, étant sous estimé, énormément. Si on prend le nombre de morts, en considérant que c'est 1% max de letalite et que le décès n'intervient pas le jour de 'infection. On est peut être déjà à 200, 500 000 malades ou encore plus.
Ce qui serait en soit une bonne nouvelle, rapprochant la date de fin de l'épidémie par manque de personnes à encore à infecter.
Je suis aussi persuadé - depuis le seul exemple de mon entourage (cf. un de mes précédents messages) : le nombre de cas me semble sous-estimé par au moins 10, peut-être 25, peut-être 50 (à cet égard, un 3e cas probable dans mes 200 contacts : symptômes un peu plus lourds, homme de 50 à 60 ans, antécédents médicaux et... président de bureau de vote le 15 mars. Ce qui, dit en passant, montre l'irresponsabilité d'avoir maintenu le scrutin.
ligerien a écrit:Que le gouvernement pourra mettre sur le compte de ses laisser-passers, et sa politique poussée jusqu'à l'absurde. Je voyais ce matin un nageur se faire arrêter en mer, sous les caméras de journalistes embedded. Nageur qui ne risquait pas de contaminer qui que ce soit en pleine mer.
En effet, et pour la même raison le couvre-feu me semble une idée stupide : autant que les gens sortent quand il n'y a personne dans les rues, ils ne seront contaminés par personne et ne contamineront personne.
ligerien a écrit:Pour finir, un petit chiffre ce matin, 50% des personnes en réa ont moins de 60 ans. Jolie manipulation pour faire très peur. Faisant entendre que les moins de 60 ans représentent 50% des formes sévères.
Ce chiffre ne pas dit que les plus faibles ne passent pas par la case réa, qu'ils ne peuvent pas supporter.
Plus la psychose sera importante, plus il sera facile de faire des mesures, plus la "victoire" sera belle à la fin.
Je le pense aussi.
Autre risque : celui d'une sélection des patients, en choisissant les cas plus facilement guérissables mais pour lesquels le pronostic vital est engagé, plutôt que les personnes âgées déjà atteintes d'autres pathologies... pour lesquelles le taux de létalité est, lui, effrayant.