Dans quelle mesure le fait de payer un euro a-t-il pu freiner le vote dans ces quartiers les plus populaires ? Si pour certains, il y a une question de principe (refus de payer pour voter), pour d'autres qui comptent chaque euro, c'est une partie de l'explication du non vote.
Enfin, si l'on compte toutes les personnes qui auraient voulu voter mais qui ne l'on pas fait pour différentes raisons (bureau de vote trop loin, difficulté pour savoir où est son bureau, volonté d'être discret dans certaines communes, absence le jour du scrutin, ou, comme je l'écrivais plus haut, de très grandes difficultés financières), on peut penser que le nombre de votants aurait été deux fois supérieur.
vudeloin a écrit:Ou les cantonales, aussi, Jean Philippe...
Non car comme tu le sais, les cantonales ne concernent ni Paris, ni les TOM, ni un canton sur deux.