Bonjour,
Alors pour une présentation digne et sérieuse, je vais placer ici même le communiqué de presse que je viens à peine de finir d'écrire et que j'envoie à toute la presse de mon canton.
Mais avant je me présente. Je suis Jean Marie Mure Ravaud, 52 ans, divorcé deux enfants, vivant dans mon petit pays d'origine, dans le sud de la France, sur le département des Bouches du Rhône, dans la ville de Ventabren, canton de Pelissanne.
J'ai fait un lien vers mon CV, mon parcours, mes idées, tout ou presque en fait, et je le place ici.
http://jean-marie-mure-ravaud.blogspot.com/2011/03/quelques-liens-utiles-propos-de-ma.htmlJ'ai la passion de la politique, mais la vraie, celle des gens, près des gens, et je suis de droite, une droite ferme sur les rares valeurs qui nous unissent depuis des siècles, mais une droite ouverte, humaniste et je suis profondément humaniste, tolérant, tempérant et moderne.
Je me définis comme indépendant, et totalement opposé tant à l'UMP qu'à l'extrême droite !
Place à mon communiqué de presse dont je livre ici la teneur pour la première fois, c'est donc un scoop.
Au plaisir
Cordialement
Jean Marie Mure Ravaud
Élections cantonales 2011 – Canton de Pelissanne (13) – Jean Marie Mure Ravaud
Communiqué de presse de Jean-Marie Mure-Ravaud
Dimanche 6 mars 2011
Jean-Marie Mure-Ravaud, Candidat d’union de la droite de libertés - « A droite toute ! Terre de nos ancêtres… NON à l’impasse de l’UMP, NON à l’impasse de l’extrême droite, la Droite, la Vraie ! »
Élections cantonales 2011 – Canton de Pelissanne – C’est parti pour la droite !
Lancement de la campagne de Jean Marie Mure Ravaud !
Pourquoi je m’engage sur notre canton, ce que j’espère et ce que je propose…
C’est avec un profond honneur que je me présente aux suffrages de mes compatriotes, femmes et hommes du canton de Pelissanne, et à quatre jours de l’ouverture officielle de la campagne, après avoir œuvré jour et nuit avec mon équipe pour être fin prêt, malgré le manque de moyens et les embuches, je me devais d’indiquer ici et en premier sur ce blog les raisons de ma candidature, ce en quoi je croyais profondément, et ce que je pouvais proposer.
Je suis en accord avec mes convictions, mes principes et mes idées, donc avec moi-même, ce qui me situe dans une totale indépendance à l’égard de quiconque.
Je ne suis pas une force d’opposition, mais de proposition, comme je l’avais indiqué bien avant les élections. A celles et ceux qui étaient venus m’écouter, j’avais également souligné le fait que ma candidature aux cantonales n’était qu’un point de départ, un ancrage ayant une double volonté, celle liée au lancement d’un grand rassemblement national et novateur de droite des libertés, loin des carcans actuels, et celle liée à mon ambition pour ma ville de Ventabren.
A des années lumières des mauvaises habitudes et des idées fausses des tenants du système, ceux que je nomme la bande des cinq, ou des six, (à savoir FG, PS, UMP, Verts et FN, auxquels il faut parfois adjoindre le Modem), je crois sincèrement que rien de solide ne peut se construire à long terme sans une solide base locale, sans racines. C’est la raison pour laquelle je fuis les stéréotypes et que j’ai décidé, avec mes ami(e)s, de lancer cette nouvelle action politique en débutant par chez moi. Quand on veut remettre les idées à l’endroit, on pratique l’escalade, on gravit pas à pas la pente des difficultés, à l’écoute de ses concitoyens, sans bruler les étapes comme tant d’autres qui préfèrent les tire-fesses de la facilité qui les mènent au sommet sans qu’ils aient jamais connu la moindre petite réalité de leur propre peuple.
Je sais pertinemment qu’une immense majorité de l’électorat est blasée, écœurée, saturée des campagnes bidons, des promesses beuglées à qui mieux-mieux évidemment jamais tenues. Je sais ce que pensent les gens d’ici, de tous bords et de tous âges. Je le sais car j’en ai des preuves tous les jours, et j’y reviendrais durant toute la campagne. Ils se disent : « Ah, revoilà nos politicards ! On ne les avait pas revus depuis la dernière élection, et les voilà de retour partout, chez nous, sur les marchés, dans les journaux, à la radio, à la TV, dans nos boites aux lettres, avec leurs beaux costumes, leurs innombrables catalogues vides de réussites mais pleines de somptueuses promesses ». Alors ils fuient, ils s’emportent, ils rigolent, mais surtout ils sont dégoûtés et n’iront pas voter. On peut parier que l’abstention tournera aux alentours des 60%, et ça pourrait être pire. Cela signifie que le vainqueur n’aura même pas reçu l’approbation d’un tiers des votants. Dramatique…
Entre le risque de ne rien faire, donc de laisser faire, et celui d’agir, ayant la fibre de l’action publique, le choix était vite fait vite vu. Malgré la tache écrasante, malgré le manque de moyens énorme comparé à mes adversaires du système en place, malgré la désillusion ambiante, j’ai donc décidé, avec ma suppléante Marie-Thérèse Marco et avec une équipe dynamique, de me lancer dans cette bataille.
Ce que j’espère, c’est évidemment le meilleur score possible. Mais dans mon esprit, s’il est au rendez-vous, un bon score serait la résultante d’une action positive et non le vulgaire bilan comptable d’une campagne conformiste. Car ce que j’espère réellement, c’est justement de redonner espoir à toutes celles et à tous ceux qui désespèrent des mœurs politiques d’une république devenue bananière et au bord du gouffre.
Ce que je propose, c’est avant tout une autre forme de gouvernance. Une gouvernance authentiquement démocratique, attentive, participative, active, à l’écoute et respectueuse de toutes les opinions tout en sachant œuvrer pour le bien commun. Ce ne sont pas des mots vains et creux, car on est très loin du compte et vous le savez bien. Sans changement dans les mœurs et méthodes politiques, il n’y aura pas de changement du tout.
L’honnêteté m’oblige à dire que la seule chose de bonne dans la réforme dite Sarkozy des collectivités territoriales, c’est le canton. Tout le reste est nuisible, mais cette réforme remet en avant la seule réalité historique et racinaire tangible et concrète pour nos compatriotes, après la commune, à savoir le canton. Évidemment, avec la multiplication des niveaux décisionnels, les mélanges et confusions des genres, la gouvernance locale est devenue une mille-feuille ou une chatte n’y retrouverait pas ses petits. En conséquence, une grande partie des français ne comprenaient plus la raison d’être de leurs cantons, même ici dans la campagne.
Et pourtant, les cantons ont plus de réalité et d’utilité que certains groupements intercommunaux parfois tracés et décidés de façon dictatoriales et ubuesques.
Surtout le canton peut et doit avoir un avenir si on arrive à lui redonner corps sur la base de la subsidiarité.
Chaque canton est unique, et chez nous, ses caractéristiques sont fortement marquées par la ruralité, l’artisanat et le commerce. C’est là -dessus qu’il faut s’appuyer pour aider l’économie. Il faut aider, accompagner, écouter tous les socioprofessionnels, artisans, commerçants et paysans du canton, afin de surtout les libérer de tous les jougs qui pèsent sur eux et qui sont autant de freins criminels à la croissance. Je le sais d’autant mieux que je suis moi-même chef d’entreprise et que j’ai un important projet commercial en devenir sur Ventabren ou j’y ouvre une PME.
C’est donc avec eux, ensemble, paysans, commerçants, artisans, PME PMI, indépendants, entrepreneurs et socioprofessionnels que j’entends prioritairement instaurer et développer une solidarité de proximité. La priorité sera de regagner toutes nos libertés ! C’est déjà grâce aux forces vives du canton que celui-ci survit. Ce sont ces forces vives qui nous rendent plus proches les uns des autres, et qui sont donc notre espoir comme notre fer de lance. Il ne faut pas chercher ailleurs.
Notre canton, donc le Conseil Général, doit être le moteur du développement économique de notre bassin de vie, et non pas un lieu de discorde et d'échappatoire.
Je souhaite mettre mon énergie au service d'une nouvelle solidarité intercommunale, et j'y mettrais tout mon cœur, ma détermination, ma volonté, mais je n'y arriverais jamais sans votre soutien, sans votre participation active, car sans vous, sans les forces vives, rien ne sera jamais possible.
Je sais que votre confiance est sévèrement ébranlée, mais croyez-moi, une fois la campagne électorale terminée, je continuerai à être présents sur tous les terrains, sur tous les fronts, avec vous, et vous pourrez toujours compter sur moi. Ma détermination à travailler pour le bien commun en commençant par chez moi est viscérale. C'est pourquoi ce n'est pas une promesse, mais un serment.
La seule et unique chose que je vous demande le 20 juin, c’est de faire l’effort d’aller voter, et même si vous ne votez pas pour moi, je vous demande de le faire avec la volonté de changement solidement chevillée au corps et au cœur.
A très bientôt.
Jean Marie Mure Ravaud
Le dimanche 20 mars, un seul vote possible,
le vote Jean-Marie MURE-RAVAUD.
NON Ã l'impasse de l'UMP !
NON à l'impasse de l'extrême droite !
LA DROITE, LA VRAIE
Pour tous contacts :
Eric Grellier – responsable presse
Libertes.responsabilite@gmail.comLe blog :
http://jean-marie-mure-ravaud.blogspot.com Le site national :
http://www.terre-de-nos-ancetres.fr Jean Marie Mure Ravaud – BP 30 – 13122 – Ventabren Cedex.