Fabrice_BLR a écrit:étrangement, vous n'évoquez pas les candidats centristes (Modem/Alliance Centriste/etc...)
Fabrice_BLR a écrit:étrangement, vous n'évoquez pas les candidats centristes (Modem/Alliance Centriste/etc...)
Par exemple, à Puteaux, le conseiller municipal Christophe Grébert, très médiatique, notamment sur la toile devrait se présenter.
A Bourg-La-Reine, Laure Thibaut, devenue récemment conseillère municipale, et qui siège dans beaucoup de commissions (Ophlm/Caisses des écoles/etc...) est assez connue sur le terrain (notamment dans les réseaux de parents d'élèves).
Ces deux candidats "modem" assez bien implantés localement devraient pouvoir faire un score honorable.
Un candidat unique pour l’UMP et le Nouveau Centre
ROBERTO CRISTOFOLI | 21.12.2010, 07h00
Malgré les ambitions de leur président Hervé Morin, qui n’exclut pas de se présenter contre Nicolas Sarkozy à la présidentielle de 2012, les centristes des Hauts-de-Seine viennent de sceller un accord en vue des prochaines élections cantonales avec leurs homologues de l’UMP.
Principale conséquence de cet accord voulu par André Santini, président départemental du Nouveau Centre et député-maire d’Issy-les-Moulineaux, et Jean-Jacques Guillet, président départemental de l’UMP et député-maire de Chaville, les deux formations politiques soutiennent un candidat dans chacun des 23 cantons renouvelables.
Sans surprise, le Nouveau Centre et l’UMP apportent leur soutien aux sortants comme Thierry Solere (Boulogne - Nord-Ouest), Patrick Devedjian (Bourg-la-Reine et Antony), Christine Barody-Weiss (Chaville) Paul Subrini (Issy-les-Moulineaux) Isabelle Caullery (La Garenne-Colombes) Philippe Pemezec (Le Plessis-Robinson et Clamart), Isabelle Balkany (Levallois-Perret - Sud), Hervé Marseille (Meudon), Marie Cécile Menard (Neuilly-sur-Seine Nord) et Philippe Laurent (Sceaux et Châtenay-Malabry). Mais la majorité départementale fonde quelques espoirs pour cette élection cantonale sur le maire de Vanves, Bernard Gauducheau, qui se verrait bien, comme aux dernières élections municipales, détrôner le sortant socialiste Guy Janvier.
Le maire de Châtenay-Malabry, Georges Siffredi, qui vient de laisser son poste de député à Patrick Devedjian et qui a tardé à officialiser sa candidature, aimerait également faire son entrée à l’assemblée départementale. Tout comme Thierry Le Gac (Asnières-Nord), Jean Paul Boulet (Châtillon), Lionel Rainfray (Colombes - Nord-Ouest), Marie-Pierre Limoge (Courbevoie-Sud), Sylvie Ramond (Levallois-Perret - Nord et Clichy), Jean-Loup Metton (Montrouge), Vincent Jeanbrun (Nanterre - Sud-Est), Frédéric Lefret (Nanterre - Sud-Ouest), Vincent Franchi (Puteaux) et Denis Gabriel (Rueil-Malmaison - Centre).
http://www.leparisien.fr/antony-92160/un-candidat-unique-pour-l-ump-et-le-nouveau-centre-21-12-2010-1199355.php
maxxx a écrit:Fabrice_BLR a écrit:Après tout dépend de ce que l'on entend par "score honorable" : si c'est un score entre 7 et 11%, effectivement, c'est totalement jouable, avec un Modem qui représente environ 4-5% au plan national, Bourg-la-Reine n'est pas un lieu les moins favorables pour les centristes...Après, si honorable, ça signifie faire plus de 15%, là, il y a quasiment aucune chance...Tout dépend de la concurrence (exemple : si d'autres candidats centristes de type Alliance centriste-NC de l'équipe Chevreau partent au combat, c'est clair que la candidate Modem fera un score anecdotique...).
Lors de ses vœux, le président du conseil général a fermement critiqué les dérives de la «politique spectacle», appelant au «courage de dire non».
UMP Patrick Devedjian a prononcé mardi soir les derniers vœux de sa mandature, qui pourraient être aussi ses derniers vœux comme président du conseil général des Hauts-de-Seine. Il a donc parlé fort pour marquer cette dernière fois. Procédant à une charge nourrie contre «la politique spectacle», l'ancien ministre de la Relance a dénoncé le «vent de dérision qui souffle sur nos institutions en croyant dépoussiérer la démocratie» et qui «pose en réalité la première couche d'une nouvelle forme de totalitarisme : celui de la démocratie d'opinion».
Se gardant de citer quelque exemple concret, il a dénoncé l'attitude de ces élus qui «se croient obligés» d'aller dans des émissions de divertissement «pour être dans l'air du temps», alors que «les humoristes se moquent ouvertement d'eux, sous les rires et les applaudissements d'un public factice». Ceux aussi qui «s'exposent complaisamment» dans «les magazines (qui) se délectent de la vie privée des élus» sous prétexte de transparence, pour pallier le «soupçon permanent» dont ils sont l'objet.
La critique est sévère. Elle ne pouvait pas ne pas être perçue, mardi soir, comme une suite de sa canonnade de fin novembre contre le président Nicolas Sarkozy, son fils Jean - président du groupe de la majorité présidentielle des Hauts-de-Seine - et leur entourage, qui auraient favorisé, à l'automne, sa défaite à la présidence de la fédération UMP. «Il faut avoir le courage de dire non à la société de l'indifférence , a-t-il lancé mardi soir. Quitte à être impopulaire. Quitte à être parfois un peu seul.»
Cette solitude, il la ressent sans ambiguïté au sein du groupe des élus de la majorité. La consigne est de le battre froid sans remettre en cause l'unité. «Il sait ce qu'ils sont capables de faire, et il sait donc que sa présidence est en danger», reconnaît un proche. Les élus du groupe de la majorité, en effet, se demandent aujourd'hui qui va le remplacer à l'issue des cantonales de mars. Dans les Hauts-de-Seine, 24 cantons sont renouvelables dont 19 à droite. Le résultat ne fait pas de doute, même si la victoire de la gauche aux régionales avec, fait inédit, 51,06 % des voix dans le département, a marqué les esprits et créé des zones de tensions.
Les jeunes élus sur les rangs
Jean Sarkozy a dit qu'il ne serait pas candidat à la présidence, conservant son unique mandat de conseiller général de Neuilly «jusqu'en 2014». Il s'est engagé sur un dossier marqué à gauche, celui de l'économie sociale et solidaire, avec un budget spécifique de 6 millions d'euros voté ces prochains jours. Et l'organisation, à la rentrée, d'un «laboratoire d'idées» sur le sujet.
Les défenseurs du «renouvellement des générations» vantent en revanche les qualités d'un proche de Jean Sarkozy, Thierry Solère, élu de Boulogne-Billancourt. Celui-ci ne dit ni oui ni non, mais affirme vouloir travailler sur le fond et le long terme. «Le département s'est caricaturé en coffre-fort depuis deux ou trois ans», assure-t-il en critique implicite de la politique menée par Devedjian. Et, pour lui, «la solution viendra d'un travail de fond sur les priorités et les actions à mener». Il compte s'allier avec d'autres jeunes élus, comme le député maire de Saint-Cloud, Éric Berdoati, ou le député européen et maire de La Garenne-Colombes, Philippe Juvin.
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