Un recours avait été déposé au lendemain des élections par le maire sortant, Cyrille Hamilcaro (Nouveau centre), qui n'était pas parvenu à être réélu.
Deux points ont été retenus par le Conseil d'État pour justifier l'annulation du scrutin :
- La violence des attaques dirigées contre Cyrille Hamilcano
- La promesse faite aux membres d'une liste éliminée au premier tour d'embaucher dix de leurs proches dans les services municipaux