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Les cantonales en Moselle

Chambre de discussion sur les élections cantonales qui seront organisées en mars 2011 et visant au renouvellement de la moitié des conseillers généraux.

Les cantonales en Moselle

Messagede Robespierre » Mar 26 Oct 2010 14:43

51 cantons
26 renouvelables

Président : Philippe Leroy, UMP depuis 92 – canton de Vic-sur-Seille depuis 79
sénateur depuis 2001

Principales villes :

Metz : PS depuis 2008
Forbach : PS depuis 2008
Sarrebourg : UMP (à droite depuis au moins 1971)
Sarreguemines : UMP depuis 2001
Thionville : PS depuis 2008
Boulay-Moselle : UMP depuis 1995
Château-Salins : DVD depuis 2008

10 députés : 2 PS 8 UMP
5 sénateurs : 3 PS et 2 UMP – série 2011

Majorité : 29 (13 DVD, 14 UMP, 1 NC et 1 Modem)
Opposition : 22 (18 PS, 1 PC, 3 DVG)

Renouvelables : 14 de la majorité et 12 de l'opposition

- 11 PS (Bitche, Cattenom, Fontoy, Forbach, Metz-1, Metz-2, Freyming-Merlebach, Maizières-lès-Metz, Algrange, Fameck et Marange-Silvange)
- 1 DVG (Ars-sur-Moselle)
- 4 UMP (Lorquin, Sarrebourg, Vic-sur-Seille et Saint-Avold-2)
- 10 DVD (Stiring-Wendel, Sarreguemines-Campagne, Rombas, Yutz, Woippy, Sarreguemines, Montigny-lès-Metz, Delme, Château-Salins et Boulay-Moselle)
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede Jean-Philippe » Mar 26 Oct 2010 15:43

Ce département conservateur, jamais dirigé par la gauche, ne devrait pas basculé.
En effet, la gauche semble avoir atteint un plafond, comme dans de nombreux départements (mais peut-être n'est-ce qu'une illusion).
En 1998, elle gagne 5 sièges (Bitche, Marange-Silvange, Metz 1, Cattenom, Maizières-lès-Metz, perdus en 1992 pour les deux derniers), ne perdant que celui de Sarrebourg, occupé par un CDS dissident rallié à la majorité présidentielle sous Mitterrand.
En 2004, elle gagne Ars-sur-Moselle, Fontoy, Forbach, Freyming-Merlebach et Metz 2.
Quant au canton de Sarreguemines-Campagne, son titulaire depuis plus de 20 ans est réélu comme DVG en 2004 face à un PS, mais sans candidat de droite contre lui. En 2008, il est vice-président du conseil général.

La gauche et le PS au premier chef doivent gagner 4 cantons pour être majoritaire en 2011.
Cela est a priori impossible pour deux raisons :
1) seul un cantons de droite apparaît comme un menacé : Saint-Avold 2 (très peu menacé car conservé avec plus de 58% en 2007)
Si Kiffer se retire à Rombas, tout est possible.

2) à gauche, Fontoy, Ars-sur-Moselle, Metz 2 sont menacés.
De plus, bien que l'ancien député PS Maurer ait été réélu avec 62% à Bitche (grâce à de mauvais reports à droite), la perte du chef-lieu en 2008 par la gauche et son retrait possible rendent ce canton tangent.
Le résultat de Metz 1 sera à observer car c'est celui du maire PS qui devrait se retirer.
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede maxxx » Mar 26 Oct 2010 16:32

Sur Saint Avold 2, je pense également que la droite présente des signes de fragilité plus importants que dans les autres cantons : le député-maire de la ville a gardé sa mairie en 2008 avec une avance moindre à celle de 2001 et le 1er canton a basculé à gauche alors qu'il était jusque là détenu par l'ancien député UMP André Berthol.
Cela dit, la stratégie de la droite a été payante en 2007 : elle a en effet investi l'ancien maire DVD de l'Hopital, commune ayant basculé à gauche depuis 2001, Jean Schuler : c'était la moins mauvaise des stratégies étant donné que ce canton contient une très petite partie de Saint Avold et surtout des villes moyennes (Carling et Hombourg Haut sont détenues par des DVD ou SE) ; investir l'ancien maire de l'Hopital permet d'éviter que la gauche ne creuse trop l'écart sur cette ville tout en assurant les votes des autres villes de droite. Je nuancerai les 58% obtenus par Jean Schuler en 2007 : il s'agissait d'une partielle et donc les taux de participation étaient très faibles (et encore plus dans un secteur où ils sont même en temps normal mauvais - cf. Les législatives sur la circonscription de Forbach-Freyming en 2002 et 2007). De plus, à l'époque, le contexte était très favorable à la majorité de droite élue nationalement : André Wojciecowski avait obtenu 54.5% des voix en 2004 en étant très bien implanté dans le canton, en tant qu'ancien maire de Macheren (1995-2001) et maire de Saint Avold (2001-) - je pense que le docteur Schuler sera sûrement réélu mais en tout cas avec beaucoup moins que 58% et certainement moins que 54.5%.

Malgré les scores de 2004, je crois que le canton de Bitche est vraiment menacé pour la gauche, que Gilbert Maurer se représente ou non. S'il se retire, il laissera s'entrouvrir une grosse breche dans laquelle la droite, ragaillardie par son éclatante reprise de la mairie de Bitche en 2008, devrait se faufiler sans difficultés. Mais je suis persuadé que même s'il repart au combat, il risque de continuer sur la lancée de ses échecs derniers en 2007 et 2008 : il est très affaibli après avoir été vraiment laminé aux législatives de 2007 (il a à peine obtenu 18.7% des voix au premier tour contre 61.3% au député UMP sortant Céleste Lett, alors qu'il fut député de 1997 à 2002 de cette circonscription, date à laquelle le maire UMP de Sarreguemines lui avait facilement repris la circonscription) et surtout après avoir été sanctionné dans le propre village dont était maire depuis 1983 aux dernières municipales (Goetzenbruck) : je pense qu'il y a de grandes chances pour que la parenthèse socialiste (ouverte en 1998) dans ce canton structurellement à droite se referme en 2011. Encore plus si le nouveau maire de Bitche est candidat...
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede Zimmer » Jeu 30 Déc 2010 09:43

Parti socialiste : 100 mesures pour gagner
Par Aurélia SALINAS • Journaliste La Semaine • 29/12/2010 à 11h37

Todeschini, Pallez, Gros : présents. Toutes les têtes d’affiche du socialisme mosellan ne sont pas là pour lancer les cantonales à gauche. La neige a été plus forte que leur conscience politique.

Tant pis le chef est là pour présenter la liste des candidats aux cantonales. Une élection que Jean-Marc Todeschini juge « être la plus difficile car il s’agit de l’élection d’un notable, bien implanté sur un territoire. Elle n’est pas politique dans les petites villes », estime le président de la Fédération du Parti socialiste en Moselle.

Sur la liste, pas de grandes surprises. Tous les sortants briguent un autre mandat excepté René Barriga sur le canton de Cattenom. Une autre absence : pour l’instant, le candidat socialiste n’a pas été désigné sur le canton de Lorquin. « On attend de voir les candidats en présence », souligne Jean-Marc Todeschini. Le soutien d’une personnalité est évoqué. Le nom d’Aurélie Filipetti circule mais, pour l’instant, c’est motus et bouche cousue.

A gauche, on croit à un possible basculement du conseil général. L’affaire ne sera pas simple. Todeschini emprunte volontiers la formule signée Philippe Tarillon « on attaque le granit. Les dix cantons les moins peuplés sont tous de droite. On doit se battre en s’ouvrant. Les socialistes ne peuvent pas être seuls pour gagner la bataille », souligne Jean-Marc Todeschini.

La preuve est autour de la table. Jean-Raymond Faivre, candidat sur le canton de Delme, n’est pas encarté socialiste. Président du conseil de développement du pays du Saulnois et membre du CES, il représente l’ouverture. Autour de la table aussi, Etienne Daval, candidat à Woippy. Tiens, tiens contre Jean-Claude Théobald et peut-être François Grosdidier qui ne fait plus cas de ses envies d’être sénateur et pourquoi pas président du conseil général à la place d’un Leroy sur le départ. « Il a annoncé lors d’une réunion de maires à Château-Salins qu’il ne briguera pas la présidence », annonce Jean-Raymond Faivre. « La droite joue à se faire peur », souligne Jean-Marc Todeschini. A Metz, Dominique Gros et Christiane Pallez repartent en campagne. La présidente du groupe au conseil général pourrait avoir fort à faire si elle se retrouve face à Denis Jacquat que la rumeur politique annonce sur le canton de Metz II. « Cela montre le désarroi d’une droite aux abois. On courtise des gens qu’on avait jeté aux orties, qui ne comptaient plus dans le paysage politique », estime Jean-Marc Todeschini.

Pour gagner, les socialistes ont imaginé un programme rassemblant 100 mesures réparties en 6 axes. Par exemple, la création d’un chèque culture loisirs. « Si on le met en place pour les 12 000 collégiens sous le seuil de pauvreté, cela coûtera 0,003% du budget du conseil général. Si tous les collégiens en bénéficient, 0,3% », explique Christiane Pallez. Un département « solidaire, humain, vivant, innovant, durable et authentique ». Six axes socialistes qui sonnent bien.

http://www.lasemaine.fr/2010/12/23/parti-socialiste--100-mesures-pour-gagner
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede jsgms » Ven 31 Déc 2010 18:12

Je crains que l'analyse est quelque peu erronée. Je ne prendrai que l'exemple du canton de Sarreguemines Campagne. L'élu DVD en place depuis 1998 voit son siège de plus en plus menacé à chaque renouvellement.
En 1992, le candidat PS faisait à peine plus de 10% contre le candidat RPR de l'époque. En 1998, le candidat DVD arrivait en tête suivie du candidat du FN, provoquant ainsi au second tour un duel entre le FN et DVD. Le PS arrivait 3ème avec près de 20% devant le candidat RPR UDF qui n'obtient qu'à peine plus de 19% des suffrages alors qu'il était Maire depuis 1977...
En 2004, avec 4 candidats en lice, le conseiller général sortant ne parvient pas à être élu au premier tour et doit supporter un second tour qui l'oppose au même candidat PS que 2004. Le Maire de Rouhling s'impose alors avec 53% des voix... seulement.
Incontestablement ce canton peut basculer à l'occasion des prochaines élections comme deux ou trois autres en Moselle et provoquer ainsi le basculement du Département.
Pas certain non plus que le canton de Bitche bascule à droite. Les nombreuses divisions à droite, l'électorat stable de Gilbert Maurer font que ce canton peu se maintenir à gauche.
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede cirlandais » Mar 4 Jan 2011 19:05

Pour le canton de Fontoy, pourquoi une nouvelle basculement a droite? Je peut pas parler pour tout le canton, mais au moins à Audun-le-Tiche la gauche unie a gagné haute la main aux municipales (n'empeche que la majorité a éclater depuis). Y a une risque d'une triangulaire @ gauche, ou c'était juste une mauvais annee en 2004 pour la droite?
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede Jean-Philippe » Mar 4 Jan 2011 20:06

cirlandais a écrit:Pour le canton de Fontoy, pourquoi une nouvelle basculement a droite? Je peut pas parler pour tout le canton, mais au moins à Audun-le-Tiche la gauche unie a gagné haute la main aux municipales (n'empeche que la majorité a éclater depuis). Y a une risque d'une triangulaire @ gauche, ou c'était juste une mauvais annee en 2004 pour la droite?


En 2004, le PS ne l'a emporté qu'avec 6 points d'avance. Si la droite présente un bon candidat et que la gauche se divise pendant la campagne, les reports médiocres peuvent permettre à la droite de l'emporter. Le risque de triangulaire est quasi nul car il faudrait 3 candidats avec plus de 25% si l'abstention dépasse 50% (ce qui était presque le cas en 2004).
http://elections.figaro.net/cgi/histo_req1?page=0&offs=5&action=C2004&re=&dep=57&Valider=Lancez+la+recherche&version=figaro

J'ajoute que ce canton ne bascule à gauche que lors des vagues roses (cantonales 1979 et 2004), ce qui montre que c'est loin d'être un fief de gauche.
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede pierrot » Mar 4 Jan 2011 21:59

Jean-Philippe a écrit:J'ajoute que ce canton ne bascule à gauche que lors des vagues roses (cantonales 1979 et 2004), ce qui montre que c'est loin d'être un fief de gauche.


Je ne suis pas tout à fait d'accord avec cette analyse. Ce canton a été détenu par l'UDF Denis Schitz de 1985 à 2004 mais il s'agissait plus d'une implantation personnelle forte du maire de Tressange.
Il s'agit tout de même d'un canton qui penche à gauche à l'image d'Audun le Tiche, commune la plus peuplée qui élit des maires PCF depuis des années. Lors de la dernière Présidentielle, Ségolène Royal était presque à 55% au deuxième tour sur le canton (57% à Audun). Au premier tour elle était en tête à 27% (29,5% à Audun) et surtout dans cet ancien bastion minier et sidérurgique la trio Besancenot-Buffet-Laguiller dépassait les 15% (19,5% à Audun). La gauche atteignait un niveau encore supérieur sur ce canton aux législatives qui ont suivi.
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede pierrot » Ven 7 Jan 2011 21:28

Cantonales : l’UMP peaufine son casting

Source : le Républicain Lorrain

Tout en remettant à plus tard les sujets qui fâchent, le comité départemental de l’UMP 57 a défriché, mardi soir, le terrain des cantonales. Denis Jacquat défie la sortante Christiane Pallez (PS) sur Metz 2.


Officiellement, pas un nuage n’est venu obscurcir les débats. L’installation, mardi soir à Metz, du nouveau comité départemental de l’UMP, ponctuée de la réélection – à l’unanimité – d’Alain Marty à la présidence mosellane et la confirmation de Patrick Thil au secrétariat du mouvement, a tenu de la simple formalité.

Le vote des investitures pour les cantonales a certes fait quelques déçus. Mais aussi des heureux. Parmi ces derniers, Denis Jacquat n’a pas boudé son plaisir d’un véritable retour en grâce, effaçant comme par magie sa bruyante éviction aux régionales. Sa candidature sur Metz 2 a, cette fois, été plébiscitée par 127 voix pour (dont les 9 parlementaires UMP), contre 28 voix en faveur de Philippe Grégoire (5 blancs) défait il y a six ans par Christiane Pallez (PS). Laquelle sait désormais à quoi s’en tenir, qui a toujours considéré la candidature Jacquat comme la seule susceptible de la mettre en difficulté. « Ce sera un combat à la loyale », promet ce dernier, qui salue son adversaire avec respect : « Ma candidature n’est pas dirigée contre Pallez, mais contre la mainmise des socialistes sur l’agglomération de Metz où ils ne disposent pourtant pas du soutien majoritaire de la population », assure le « bon docteur » en spéculant sur « la déception des Messins par la gestion socialiste ».

Woippy : ç’est chaud
Soucieux de ne pas rompre ce bel unanimisme, le comité départemental a pris sur lui de reporter le sujet chaud bouillant de l’investiture sur Woippy.

Et pour cause, François Grosdidier semble plus décidé que jamais à se jeter dans la bataille. Redoutant plus que tout un basculement du canton à gauche, il entend assurer lui-même ses arrières. Le maire de Woippy devrait y affronter le socialiste Etienne Daval, mais il pourrait surtout ferrailler avec le sortant Jean-Claude Théobald (DVD/Indépendants de Moselle), membre à part entière de la majorité départementale conduite par l’UMP Philippe Leroy.

En dépit de la puissance de feu de Grosdidier, Théobald ne semble guère enclin à renoncer. D’autant qu’il peut – sur le papier, tout au moins – miser sur un arc anti-Grosdidier allant de Jean-Louis Masson à Patrick Weiten, Indépendant tout comme Théobald, et guère enthousiaste à l’idée de voir Grosdidier venir troubler le passage de relais à la tête de l’exécutif départemental programmé dans l’après-mars entre Philippe Leroy et lui-même.

« On entre de plain-pied dans le scénario redouté. On n’est plus très loin de la machine à perdre enclenchée lors des régionales », confie, sous couvert d’anonymat, cet observateur de la vie politique mosellane.

« Il faut que la droite mosellane se ressaisisse avant qu’il soit trop tard », renchérit un élu UMP préférant croire un arrangement encore possible pour éteindre l’incendie.

Reste qu’à ce jour, la plupart des candidats UMP ont été investis : Eric Gardelli (Ars-sur-Moselle), Lionel Cossin (Algrange), Rémy Sadocco (Fameck), Christian Peyron (Forbach), Françoise Kochens (Freyming-Merlebach), Julien Freyburger (Maizières-lès-Metz), Marcel Jacques (Marange-Silvange), Jérémy Aldrin (Metz 1). A ceux-là s’ajoutent, depuis mardi : Michel Paquet (Cattenom), Sylvie Thomas (Fontoy), Denis Jacquat (Metz 2).
X. B.

Publié le 06/01/2011


Le canton de Metz 2 devrait offrir un duel intéressant entre la sortante Pallez zt le "poids lourd" Jacquat.

Concernant le canton de Fontoy,évoqué dans des messages précédents, le choix de l'UMP confirme qu'au sein du parti présidentiel on ne croit pas non plus beaucoup au basculement de ce canton. Sylvie Thomas est une nouvelle venue, simple conseillère municipale déléguée à Fontoy, peu connue sur le canton et loin d'avoir le poids d'un Denis Schitz. Visiblement, certains candidats potentiels, mieux armés dans le paysage local, ne se sont pas bousculés pour partir au combat.
Ou alors il s'agit de jouer le renouvellement pour contrebalancer l'effet "archi-déjà-vu" du bon docteur Jacquat à Metz : député depuis 25 ans, au conseil municipal depuis 34 ans et déjà 23 ans de conseil général à son actif (1979-2002)!!!
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Re: Les cantonales en Moselle

Messagede cirlandais » Sam 8 Jan 2011 16:41

Merci pour toutes les réponses! A propos d'une basculement gauche, est-ce la gauche a deja diriger le conseil générale ici, au moins depuis la guerre?
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