En 1992, la gauche et la droite avait perdu un canton chacune, le rapport de force sur la série renouvelable étant de 18 sièges contre un (Joué-lès-Tours-Sud) pour la gauche. En 1998, la gauche avait gagné 6 cantons (3 à Tours). En 2004, ce sont 5 cantons qu'elle avait remporté, dont 2 à Tours.
Le rapport de force est donc de 12 sièges pour la gauche (11 PS et un DVG) contre 8 pour la droite (3 UMP dont un au PCD de Boutin et 4 DVD). La droite est a priori mieux partie pour conquérir de nouveaux sièges. Cependant, elle n'avait conservé qu'avec 48 voix d'avance sur un DVG le canton de Ligueil, lequel DVG a désormais pris le siège de maire au sortant en 2008.
C'était hier [le 13 septembre], le dépôt des candidatures socialistes aux cantonales 2011 (19 cantons renouvelables). Sur 16 cantons :
Daniel Durand (maire de Bréhémont) à Azay-le-Rideau,
Alain Kerbriand-Postic (sortant) à Bléré,
Pierre Junges (s) Ã Bourgueil,
Philippe Le Breton (s) à Joué-Sud,
Marisol Touraine (s) Ã Montbazon,
Patrick Bourdy (s) Ã Montlouis,
Frédéric Thomas (s) à Tours Nord-Est,
Claude Roiron (présidente) à Tours Nord-Ouest,
Nicolas Gautreau (s) Ã Tours-Ouest,
Claude-Pierre Chauveau (s) Ã Tours-Sud,
Martine Chaigneau (s) à Château-la-Vallière,
Sébastien Lambert à L'Ile-Bouchard,
Philippe Guyonnet au Grand-Pressigny,
Christian Grellet (maire) Ã Ligueil,
Maurice Cordera à Montrésor,
Christiane Martineau à Richelieu.
Pas (encore ?) de candidat à Neuvy-le-Roi.
Sont à départager par les militants : sur Tours-Est, Alain Dayan et Monique Chevet (s). Et Jacques Sauret et Joël Ageorges à Luynes-Fondettes.
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